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Randonneurs amateurs vaut surtout par la complicité entre les deux têtes d'affiche. Le film esquisse une réflexion sur la nature de l'amitié et l'usure du temps.
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Efforts, blagues : Robert Redford et Nick Nolte y mettent du coeur, de la légèreté et de la conviction.
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Ici la rédemption de l’un (...) et de l’autre (...) passe par une série de gags convenus et de bien belles vues des Appalaches filmés comme s’ils s’offraient à la vue d’Alexis de Tocqueville.
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Un film sympathique mais qui manque de rythme, d’ambition et de créativité.
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Le hic majeur, c’est d’une part que tout paraît factice, y compris les souffrances ou les épisodes spectaculaires (comme l’attaque d’un ours), et d’autre part l’humour en rase-motte de l’ensemble, qui déçoit de la part d’un comédien classique tel que Redford.
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Robert Redford et Nick Nolte ne sont guère crédibles en marcheurs de l'extrême dans ce film où les pensées pseudo-philosophiques sur la vie et l'exploration de soi manquent de profondeur.
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En voyant le premier (Robert Redford ndlr) tenter de faire le jeune sans jamais se salir les chaussures et le second (Nick Nolte ndlr) tellement bouffi et sans doute pas sobre avoir du mal à tenir debout, toute cette histoire ne nous semble pas franchement crédible.
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Le métrage long d’1h45, composé de dialogues patauds, de souvenirs partagés avec le poto un peu ours, joué par Nick Nolte, d’émotions folk, n’arrive pas à la hauteur des silences spectraux du glaçant All is Lost (...)
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Récit mal dégrossi, mise en scène passe-partout et raccourcis simplistes. C’est dépourvu de cohérence et les personnages féminins sont tous sacrifiés. Médiocre balade.