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Le résultat est presque à la hauteur des promesses : un script 100 % frais pour un film drôle, saignant, alerte et attachant grâce à son duo de méga-losers incarné par Russel Crowe et un Ryan Gosling en total “lâcher prise”.
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Black ne s’interdit rien, quitte à finir parfois dans le décor. Il sait aussi qu’un bon polar dit autre chose que ce qu’il raconte.
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Coscénariste du film, Shane Blake réalisateur s'est manifestement attaché à se réserver quelques scènes de comédie et d'action sur lesquelles il pouvait travailler sa mise en scène.
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Mis à part le trio central, les personnages sont à peine esquissés. Mais le film va si vite et fait tant de bruit qu’on a à peine le temps de s’en apercevoir (...) On sort de la salle comme on descend d’une attraction foraine, le sourire aux lèvres, la tête vide.
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Toute la puissance comique de The Nice Guys se situe dans cette recherche permanente du décalage. Un tel parti-pris - ludique et joyeux sur le fond comme sur la forme - est jouissif pour le spectateur qui se trouve sans cesse sollicité par un film mené tambour battant.
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Ce n’est pas tant que cette histoire de complot et corruption dans la florissante industrie du X californienne des 70’s soit atroce ou cynique, mais elle déçoit constamment par son manque d’inventivité. Tout ce petit monde paraît las, réduit à en faire le minimum pour amuser la galerie.
The Nice Guys