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Le cinéaste orchestre ingénieusement les rebondissements multiples de cette série B honnête et efficace.
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faute d’être miteuse, cette sortie estivale annonce de bonnes soirées vidéos en perspective, mais gare à la fin qui s’étire, ce n’est pas forcément ce qu’on a fait de mieux en la matière, là encore on retrouve bien la patte molle du maître de l’épouvante mineur qu’est Wes Craven.
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Mélange pépère de fantastique et de " slasher movie " (en gros, " film d'égorgeur "), "My soul to take" n'est certes pas le meilleur thriller de Wes Craven. Mais cette histoire d'ados décimés (...) constitue tout de même un bon vieux jeu de massacre réjouissant.
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Un brillant prologue sur l’arrestation sanglante d’un tueur schizophrène nous fait espérer un instant le grand retour de l’auteur de « Freddy » et de « Scream ». Il faut pourtant vite remiser nos espoirs face à ce énième « slasher movie » exécuté (jeu de mot !) avec une efficacité indolente, voire indifférente, mais sauvé par cette ironie narquoise qui est l’empreinte du cinéaste.
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Cela commence comme “Shocker”, on enchaîne sur “Scream” et cela se termine dans le néant absolu. Quand Wes Craven se pille lui-même, alors là oui on peut se le dire : son âme s’en est bien allée.
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À part quelques plans inspirés, My Soul to Take est un défi au sens du rythme nécessaire à la montée en angoisse de tout bon slasher qui se respecte. Bilan de cette course contre la mort: un flip partiellement intelligible.
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(...) à l’heure où même des séries télévisées visibles par tous s’autorisent des décapitions en tout genre, on se demande bien qui pourrait frémir devant un film aussi benêt (...)