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Une prof divorcée est séduite par son voisin, jeune et beau lycéen (joué par un acteur de 27 ans !), qui s’avère être un psychopathe. Voilà un thriller pseudo-érotique déjà vu mille fois et en mieux, avec une scène de sexe vite expédiée qui ferait passer "Cinquante Nuances de Grey" pour "Nymphomaniac", et des twists super bidons. Le tout s’enchaîne mollement au long d’un script filandreux mis en scène sans conviction, le double jump scare du chat et du cadavre à la fin étant du grand n’importe quoi. Le succès du film aux US s’explique par la présence au générique du producteur Jason Blum ("Paranormal Activity", "Sinister", "American Nightmare"), qui enchaîne les succès avec des budgets de cinq millions de dollars.
Toutes les critiques de Un Voisin trop Parfait
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Le réalisateur Rob Cohen, décidément pu inspiré par les poncifs de ce thriller soi-disant érotique, ne fait pas mieux que ses acteurs et les accompagne d'un manque d'ambition et d'intérêt flagrant.
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Le énième psychopathe "de proximité" de Holly-wood ressemble à tous ses confrères : araignées au plafond et secrets dans la cave. Vu mille fois. On passe...
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Illustrant son récit par un florilège d’images toutes faites censées figurer la folie psychopathe, il ne s’embarrasse pas de donner la moindre crédibilité, ni la moindre substance, à son récit.
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Un thriller domestique délavé, avec une Jennifer Lopez atrophiée dans un genre propret, destiné aux ménagères en manque de frissons et surtout de draps froissés.
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Avec son thème architraité, ses séquences maladroites de tourments psycho-sexuels et les indices criants de scènes coupées, le film mérite bien le qualificatif de ce qu’il admire : tragique.
