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Un état des lieux en forme de contre-pied involontaire aux récents Petits Mouchoirs puisque ces amis vont au bout d’eux-mêmes, quitte à y laisser beaucoup plus que des plumes, et que leur comportement évoque un acte de candidature collectif au Nobel de l’amitié. Le tout emballé, interprété et sonorisé avec un lyrisme certes mécanique mais suffisamment accrocheur pour espérer recevoir un troisième (et dernier ?) baiser courant 2020.
Toutes les critiques de Encore un baiser
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Encore un baiser filme la passion dans la peau qui fait des ravages, mais c'est avant tout une histoire d'amitié sans limite, comme seule existe la vraie amitié.
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(...) la première heure, en cataloguant des personnages majoritairement issus de la classe moyenne dans leur contemporain vague et romain, tend à délayer une comédie de moeurs qui échoue à paraître enjouée. Ce n'est qu'avec le temps que quelques-uns des dits personnages gagnent en relief et provoquent l'empathie (...).
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(...) une comédie de moeurs charmante et cruelle, dont la durée n'amoindrit pas le vibrato. Et les acteurs sont si formidables qu'on leur donne rendez-vous dans dix ans.
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On s’était donné rendez-vous dans dix ans... Muccino retrouve ses personnages larmoyants et leurs adultères sous le soleil du ciel romain. Un mélo longuet, qui délaisse les enjeux de son scénario pour une émotion facilement acquise.
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Seule nouveauté notable, l’arrivée de Valeria Bruni Tedeschi. Pour le reste, c’est le même interminable canevas hystérique et marital où les héros s’interrogent sur le sens de leur vie, leur couple et leur femme. Aussi crédible, générique et creux qu’un énième dossier pour mensuel féminin sur la crise de la quarantaine bobo.