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Curling, cinquième long du Québécois Denis Côté, manie l’étrange et l’ellipse. On le remercie de ne pas prendre les spectateurs pour des crétins, mais de là à en faire des devins... Ne rien expliquer à ce point rend l’intérêt pour le film dangereusement aléatoire.
Toutes les critiques de Curling
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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A l’image, le travail hallucinant de Josée Deshaies (chef opérateur de l’Apollonide, de Bertrand Bonello) finit d’élever Curling au rang des bijoux vus cette année. Saisissant.
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Denis Côté opère de brusques trouées fantastiques (un tigre qui apparait, des cadavres qui sortent de terre), ajoutant un peu de trouble au film. S'il abuse parfois de ces effets (de longs plans-séquences édifiants, un symbolisme parfois accessoire), Curling reste une expérience fascinante, un film hanté par le doute et la culpabilité.
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Curling, sans jamais se départir d'une tonalité somme toute réaliste, possède bien une atmosphère de cont
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Un vrai charme émane de ce film sombre et curieusement aveuglant