-
Des extraterrestres pas cool accordent aux Terriens une chance de prouver qu’ils savent distinguer le bien du mal. Ils choisissent au hasard un prof insignifiant, lui donnant la possibilité de réaliser tout ce qu’il veut. Dire que l’on attendait le nouveau Terry Jones est un euphémisme : on mourrait d’envie de le voir. Crottes qui marchent, blagues pourries sur les pénis, caricatures dépassées... De la même façon que son héros fait un mauvais usage de ses pouvoirs, l’ex-Monty Python exploite son sujet de la pire des façons, offrant – c’est dire – le meilleur rôle du film à un chien qui parle (certes avec la voix de Robin Williams). Le mauvais goût n’est vraiment plus ce qu’il était.
Toutes les critiques de Absolutely Anything
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
Réalisée par Terry Jones, un des trublions des Monty Python dont chacun donne sa voix à un alien, "Absolutely Anything" est la comédie jubilatoire de l’été.
-
"Absolutely Anything" réunit en son sein une jolie ribambelle de gags plus absurdes et drôles les uns que les autres, et font de ce film une belle comédie bien tissée et franchement hilarante à consommer sans modération.
-
(...) une comédie délirante à l’humour british façon Monty Python
-
Parsemée de loufoqueries, réalisée avec soin sans jamais se prendre au sérieux, cette comédie très british est une délicieuse sucrerie pour les amateurs de second degré et de non-sens.
-
À l'écran, le résultat est d'un prévisible consommé. (...) Si le film arrache quelques sourires, les gags sont dans leur majorité potaches, presque lourds.
-
Terry Jones se bride (...) comme si un humour trop subversif ou décalé allait l'éloigner du grand public. (...) "Absolutely Anything" reste cependant une rom com familiale de saison : plaisante et rafraîchissante.
-
L'abattage de Simon Pegg en enseignant amoureux est aussi pour beaucoup dans la réussite de cette comédie décapante.
-
Le talent burlesque de Simon Pegg et le charme pétillant de Kate Beckinsale font oublier une mise en scène qui, contrairement à l’irrésistible chien Dennis, manque un peu de mordant.
-
(...) elle a beau être traversée par une humeur absurde éminemment sympathique, la pochade est laide et poussive.
-
(...) une sorte de gros zapping indigeste, où un gag vient en remplacer un autre de manière totalement interchangeable – Terry Jones se faisant ici plutôt l’apôtre du « Ça passe ou ça casse » que d’une économie réfléchie de moyens.
-
On entrevoit avec l’hilarant second rôle du chien Dennis, à qui Robin Williams donne sa voix, ce qui aurait pu être une comédie véritablement déjantée. Quelques sourires ici et là mais une impression de gachis.