Toutes les critiques de The Ballad of Genesis and Lady Jaye

Les critiques de Première

  1. Première
    par Gérard Delorme

    Performeur, provocateur et musicien, Genesis Breyer P-Orridge est réputé pour avoir contribué à l’avènement de la musique dite industrielle à travers des groupes phares comme Throbbing Gristle ou Psychic TV. Ce film, qui mêle documents d’archives et images prises dans l’intimité, suit pendant sept ans sa dernière démarche, inspirée par l’amour fusionnel qu’il éprouvait pour la femme de sa vie, Lady Jaye, morte en 2007. Leur passion était si forte qu’elle les poussa à modifier leurs corps pour qu’ils deviennent indissociables. Vécue en direct, l’expérience artistique se double d’une aventure humaine.

Les critiques de la Presse

  1. Télérama
    par Jérémie Couston

    Une performance en soi.

  2. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    (...) The Ballad... survole cette extraordinaire histoire d'amour inachevé à la mort soudaine de Lady Jaye, pour se contenter d'être une ode au seul Genesis mêlant des images d'archives de ce qu'il a fait de plus choquant à des performances pu conventionnelles.

  3. A voir à lire
    par Virgile Dumez

    Faisant partie des fondateurs de la musique industrielle, Genesis s’avère être un créateur et un performer hors pair. Sa musique, profondément originale dans les années 70 avec le groupe Throbbing Gristle, puis plus mature avec Psychic TV, est tout bonnement excellente.
    La description de cette terre d’ébullition artistique que fut le New York noctambule des années 80 est d’autant plus remarquable que la réalisatrice a volontairement déstructuré son documentaire pour que sa forme s’accorde avec son sujet. A la lisière de l’expérimentation et finalement formellement très proche du Tarnation de Jonathan Caouette, The Ballad of Genesis and Lady Jaye est une véritable réussite lorsqu’il se concentre sur le milieu de l’art contemporain et qu’il abandonne les obsessions transgenres de Genesis.

  4. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Tout cela reste bien superficiel pour un sujet qui appelle la profondeur.