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Pour son premier long, l’homme de théâtre Laurent Laffargue traite de désœuvrement et de jalousie dans un village du Sud-Ouest. Inspirée par le western et ses déclinaisons modernes signées Jeff Nichols ("Mud"), la tragédie s’enlise pourtant dans une violence stéréotypée.
Toutes les critiques de Les rois du monde
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Les Rois du monde suspend son fil conducteur entre la luminosité qu’exhale un groupe d’individus et la noirceur opaque qui peut le rattraper à tout moment. Un grand écart bien exécuté, qui parvient de fait à rendre digestibles les nombreux stéréotypes employés. Une vraie curiosité.
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"Les Rois du monde" suspend son fil conducteur entre la luminosité qu’exhale un groupe d’individus et la noirceur opaque qui peut le rattraper à tout moment. Un grand écart bien exécuté, qui parvient de fait à rendre digestibles les nombreux stéréotypes employés. Une vraie curiosité.
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(...) ce premier film, inégal mais gonflé, ose les excès de la tragédie amoureuse dans une ambiance de western rural.
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(...) ce premier film, inégal mais gonflé, ose les excès de la tragédie amoureuse dans une ambiance de western rural.
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Entaché des afféteries et maladresses d'un premier long-métrage, cette chronique d'une tragédie annoncée n'en est pas moins dépourvue d'une belle progression dramatique, exacerbée par un Sergi Lopez tout bonnement fascinant.
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Entaché des afféteries et maladresses d'un premier long-métrage, cette chronique d'une tragédie annoncée n'en est pas moins dépourvue d'une belle progression dramatique, exacerbée par un Sergi Lopez tout bonnement fascinant.
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Un film dopé à la testostérone, plein de bruit et de fureur, mais desservi par un trop plein de grandiloquence.
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Un film dopé à la testostérone, plein de bruit et de fureur, mais desservi par un trop plein de grandiloquence.
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Des "Rois du monde", on pourrait donc dire qu’il ressemble à la tournée d’une troupe dans un village : elle le visite sans l’habiter.
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Des Rois du monde, on pourrait donc dire qu’il ressemble à la tournée d’une troupe dans un village : elle le visite sans l’habiter.
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Pour son premier long, Laffargue construit une tragédie qui, hélas, se perd en détours.
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Pour son premier long, Laffargue construit une tragédie qui, hélas, se perd en détours.
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Qu’est-ce que c’est que ces gens ? C’est la question qu’on se pose devant ce film naturaliste et bien à côté de la plaque
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Qu’est-ce que c’est que ces gens ? C’est la question qu’on se pose devant ce film naturaliste et bien à côté de la plaque
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Entre numéros d'acteurs appuyés (le pompon à Sergi Lopez), des séquences parfois longuettes, une artificielle scène d'amour et un final façon tragico-western, ce drame romantique nourri aux corticoïdes passe son temps à chercher son style et sa voie.
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Entre numéros d'acteurs appuyés (le pompon à Sergi Lopez), des séquences parfois longuettes, une artificielle scène d'amour et un final façon tragico-western, ce drame romantique nourri aux corticoïdes passe son temps à chercher son style et sa voie.
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Directeur d’acteurs pourtant rodé, Laffargue se casse les dents comme tant d’autres avant lui sur une laborieuse transposition de la scène à l’écran, entravée par la radicalité de ses héros rivés à leurs idées fixes.
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Directeur d’acteurs pourtant rodé, Laffargue se casse les dents comme tant d’autres avant lui sur une laborieuse transposition de la scène à l’écran, entravée par la radicalité de ses héros rivés à leurs idées fixes.