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1975, en Belgique : Sarah est arrachée par son père à son pensionnat catholique, direction le Maroc. Neuf ans plus tard, en pleine révolte de la faim, la jeune femme tente de conquérir son indépendance. Un beau sujet et les meilleures intentions ne font pas toujours un bon film comme l’illustre ce Sac de farine où Kadija Leclere, animée par un engagement très personnel, veut tout aborder – déracinement, religion, place des femmes, amour – et finit par tout survoler.
La réalisation sans relief et l’interprétation inégale ont raison de notre intérêt. -
1975, en Belgique : Sarah est arrachée par son père à son pensionnat catholique, direction le Maroc. Neuf ans plus tard, en pleine révolte de la faim, la jeune femme tente de conquérir son indépendance. Un beau sujet et les meilleures intentions ne font pas toujours un bon film comme l’illustre ce Sac de farine où Kadija Leclere, animée par un engagement très personnel, veut tout aborder – déracinement, religion, place des femmes, amour – et finit par tout survoler. La réalisation sans relief et l’interprétation inégale ont raison de notre intérêt.
Toutes les critiques de Le Sac de Farine
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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La réalisatrice Kadija Leclere s'est inspirée de sa propre histoire pour aborder les problèmes liés au choc des cultures occidentale et orientale, et à la place des femmes dans la société maghrébine. Son film traite ce sujet délicat avec intelligence.
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Kadija Leclère s'inspire de sa propre vie, sans jamais dorer la pilule sur les réalités du Maroc. Son film ne manque ni d'à propos, ni de force, grâce à ses excellents interprètes.
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Kadija Leclere déroule un récit d'apprentissage classique et sincère, où le désir de liberté et l'amour s'opposent à la tradition.
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De la féminité naissante des jeunes filles en fleurs à la solidarité de classe fendillée par un conflit larvé de générations, Kadija Leclere se révèle dans l’art de l’esquisse et de la rondeur, bien aidée par le magnétisme de ses actrices.