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Nouvel exorcisme pour le réalisateur du Dernier Exorcisme. Après dix ans à bosser sur des séries d’horreur (Scream, Fear the Walking Dead, Them…), Daniel Stamm revient à son sous-genre de prédilection. La Proie du diable fait le portrait d’une religieuse, violentée dans son enfance par une mère possédée par Satan, qui intègre une école d’exorcisme récemment ouverte par le Vatican pour mieux régler ses comptes avec le Malin… La mise en place du film est séduisante et, le temps d’une première scène de désenvoûtement plutôt réussie (faisant un usage ingénieux de la chevelure d’une petite fille démoniaque), on croit qu’on va s’amuser un peu. Mais les péripéties qui suivent sont totalement expédiées, filmées sans entrain par des gens manifestement pressés de rentrer chez eux. Reste la conviction de l’actrice principale, Jacqueline Byers, assez attachante en nonne rock’n roll.
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Nouvel exorcisme pour le réalisateur du Dernier Exorcisme. Après dix ans à bosser sur des séries d’horreur (Scream, Fear the Walking Dead, Them…), Daniel Stamm revient à son sous-genre de prédilection. La Proie du diable fait le portrait d’une religieuse, violentée dans son enfance par une mère possédée par Satan, qui intègre une école d’exorcisme récemment ouverte par le Vatican pour mieux régler ses comptes avec le Malin… La mise en place du film est séduisante et, le temps d’une première scène de désenvoûtement plutôt réussie (faisant un usage ingénieux de la chevelure d’une petite fille démoniaque), on croit qu’on va s’amuser un peu. Mais les péripéties qui suivent sont totalement expédiées, filmées sans entrain par des gens manifestement pressés de rentrer chez eux. Reste la conviction de l’actrice principale, Jacqueline Byers, assez attachante en nonne rock’n roll.