Toutes les critiques de La rage au ventre

Les critiques de Première

  1. Première
    par Gérard Delorme

    Au sommet de la gloire, un boxeur gaucher est sur le point de raccrocher lorsqu’un accident fait basculer sa vie. Jake Gyllenhaal est capable de presque tout. Même s’il n’arrive pas tout à fait à nous convaincre que son personnage est un prolo blanc qui se prend pour un Noir, il est physiquement fracassant en boxeur poids légers dont le regard est presque aussi redoutable que les poings. Il est le pilier de ce film dont le rôle principal devait, à l’origine, être tenu par Eminem. Mais l’intrigue, écrite par le scénariste de "The Shield" et de "Sons of Anarchy", tout comme la direction d’acteurs (Forest Whitaker est encore en roue libre) ne sont pas suffisamment dégrossies pour nous faire oublier "Rocky".

Les critiques de la Presse

  1. San Francisco Chronicle
    par Mick LaSalle

    "La Rage au ventre" va plus loin que la boxe pour devenir une histoire universelle sur la douleur et la tragédie.

  2. Culture box by france Tv
    par La rédaction de Culture Box

    Une histoire humaine qui tient beaucoup à l'interprétation choc de Jake Gyllenhaal.

  3. Ecran Large
    par Ben Bise

    "La Rage au ventre" distribue quelques très beaux coups qui raviront les amateurs de boxe, dommage que le réalisateur soit parfois aussi bourrin que son héros.

  4. Chicago Reader
    par J.R. Jones

    On ne peut qu'admirer un film de combat dans lequel le frisson de la victoire et la douleur de la défaite se passent en dehors d'un ring.

  5. Clapmag.com
    par Thibaut Austruy

    Sans réinventer le genre, hormis les nouveautés apportées par les plans subjectifs sur le ring, Antoine Fuqua signe un film poignant qui ne nous laisse pas insensible.

  6. Le JDD
    par Barbara Théate

    "La Rage au ventre" est une histoire de rédemption avec son lot de bons sentiments, mais sauvée par la mise en scène punchy d’Antoine Fuqua et le charisme de Jake Gyllenhaal, montagne de muscles.

  7. Village Voice
    par Stephanie Zacharek

    "La Rage au ventre" est un mélodrame brutal et exténuant. Quoi qu'il en soit, Fuqua travaille toujours avec de bons acteurs et il en a rassemblé un grand nombre ici.

  8. Associated Press
    par Jake Coyle

    Avec ses gros plans sanglants et les bruits des coups, Fuqua a capturé l'éblouissante brutalité qui règne sur un ring. Mais ses convictions ne sont jamais remises en question : c'est une parabole qui croit fortement en la boxe.

  9. Time Out
    par Joshua Rothkopf

    Comparé au changement rapide et dur de Gyllenhaal pour "Night Call", transformer l'acteur naturellement rusé en un lugubre Stallone n'était pas difficile pour lui.

  10. Hollywood Reporter
    par Deborah Young

    Le film reste fidèle aux règles du genre maintes fois éprouvées. Mais un cast audacieux - avec en tête Jake Gyllenhaal, le formidable héros - aide à rester focalisés sur l'intrigue.

  11. Critikat.com
    par Pierre Vedral

    L’entreprise pourtant viable, menée avec rigueur par Antoine Fuqua, repose essentiellement sur la performance physique saisissante de Jake Gyllenhaal. Elle aurait cependant gagné à s’émanciper davantage des références du "Noble art" couché sur pellicule pour tenter de nous mettre littéralement KO debout.

  12. Cinenews.be
    par Ruben Nollet

    "La Rage au ventre" pénètre sur le ring plein d'énergie et de bonnes intentions, mais perd finalement l'affrontement aux points.

  13. Newsday
    par Rafer Guzman

    A la fin, le film se met lui-même au tapis.

  14. Seattle Times
    par Soren Anderson

    "La Rage au ventre", un film de boxe consacré à la rédemption, est sauvé par les performances de ses deux acteurs principaux : Jake Gyllenhaal et Forest Whitaker.

  15. Time Magazine
    par Mary F. Pols

    "La Rage au ventre" est bien fait, mais trop conventionnel pour sauter la fin victorieuse ou laisser une sorte d'impression inoubliable. Et Gyllenhaal ? Il n'est pas un poids léger.

  16. New York Daily News
    par Joe Neumaier

    Quand les clichés sur la boxe fonctionnent, on peut finir KO. Mais quand ce n'est pas le cas, comme dans "La Rage au ventre", on est juste sonné.