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À la mort de sa mère, Charlie prend le large vers Bucarest. Il y rencontre Gabi, dont il tombe amoureux fou. Mais malheureusement pour lui, elle ne lui attire que des ennuis. Comme une version noire et
déstructurée de La Mort aux trousses, Charlie Countryman est un thriller dopé au romantisme échevelé. En se calquant sur le délire de son héros, le réalisateur ose toutes les outrances. On peut
donc être allergique à ce faux film de genre « suresthétisant » ou, au contraire, être emporté par cet objet inclassable qui fonce droit dans le mur avec jubilation.
Toutes les critiques de Charlie Countryman
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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LaBeouf se livre corps et âme dans ce rôle sans aucune limite, c’est un acteur fascinant et intrépide, sa sincérité rétablit l’ordre de cet immense bazar.
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Les rebondissements sont au programme de ce thriller réjouissant où Mads Mikkelsen se montre inquiétant à souhait.
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Première réalisation du grand chef opérateur américain Dean Wright, Cristeros raconte avec beaucoup de fougue et d'humanité cette époque historique méconnue (...). Malgré quelques longueurs vers la fin, le film a une belle ampleur dramatique, et ressucite des figures marquantes (...)
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Charlie Countryman n'est peut-être qu'un faux film indépendant de plus, trop malin et propre sur lui pour nous convaincre vraiment, mais l'ensemble est exécuté avec suffisamment de talent et de savoir-faire pour nous offrir une sympathique virée.
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Pour son premier long-métrage, Fredrik Bond compose, entre Trainspotting et True Romance, une love story atypique et déjantée. Images stylées et musique branchée pour cet ovni qui possède tous les atouts pour faire le buzz. Et, qui sait, gagner le statut envié de film culte.
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Une production sur l’incroyable Bucarest, un coin de l’Europe de l’Est si intrigant et romantique à la fois.
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On aurait préféré que le scénario de Matt Drake se concentre davantage sur la question de l’existentialisme plutôt que de lorgner vers une romance sous acide aux effets artificiels.
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Foutoir dans le scénario, mais visuellement recherché.
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Grâce à un duo de choc, le film présente assez d’impact pour justifier son existence. New
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Le film tente de s'ouvrir à la folie et à l'hystérie carpatiques, avant de tomber dans les ornières du thriller lambda.
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On peut moquer cette froufroutante compilation de clichés adolescents, filmée au ras des pâquerettes. Mais il émerge de ce trip foutraque pour jeunes routards de salon un indéniable souffle, quelques idées visuelles qui se défendent et un panache de jeune chien fou assez touchant qui compense par sa vivacité et ses fulgurances une grandiloquence de poète maudit niveau terminale L un tantinet gênante.
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Fredrik Bond fait preuve d’une maîtrise désinvolte pour ne pas perdre le spectateur. Même si le triangle amoureux et la romance fulgurante entre Charlie et Gabi demeurent classiques, la descente aux enfers du héros est globalement captivante, voire ponctuellement surprenante. La dernière partie et son dénouement tout à fait honnête perdent un peu l’onirisme qui imprégnait jusque-là le film pour retomber dans une certaine banalité codifiée du thriller.
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Cette love story aux allures de polar poisseux et frénétique se suit surtout pour son trio d’acteurs généreux, habités par leurs rôles excessifs.
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Même si on a bien compris que Charlie aime se rapprocher des mauvais garçons en jouant avec le feu, le personnage est tout de même déroutant et creux, tout comme le film.
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Love story nébuleuse et crétine, ce premier film est le prétexte à un florilège d'expressions ahuries de Shia LaBeouf. Quant à Evan Rachel Wood, elle n'est qu'yeux mouillés du début à la fin d'un film dégoulinant.
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une romance nunuche, entrecoupée d'éclats de violence et de scènes de défonce lourdingues. Le réalisateur frime...
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LaBeouf fait preuve d’une telle imprudence que c’est à la fois désarmant et déconcertant à observer.
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Le clippeur suédois Fredrik Bond court après ses personnages et récite - en le réduisant assez bêtement d'ailleurs - l'esthétique de Danny Boyle. En résulte une long pub tout en stylisation ostentatoire. En dépit du beau casting (Shia LaBeouf, Evan Rachel Wood, Mads Mikkelsen...), on décroche très vite.
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Un voyage initiatique au casting certes classieux, mais au scénario trop aléatoire et foutraque pour être vraiment passionnant
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Après un démarrage pied au plancher, ce film sympathique perd peu à peu de son intérêt. Dommage pour Shia LaBeouf, excellent dans le rôle d'un jeune homme bouleversé par la mort de sa mère qui se perd dans une ville dont il ignore tout.
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Shia LaBeouf est Charlie Countryman, un loser magnifique, qui sous les conseils de sa mère morte se laissera entraîner dans un voyage à travers les rues de Bucarest, sous acide. Le héros immédiatement attachant perdra peu à peu de son intérêt plongé au coeur d'un trio amoureux qui sonne aussi faux que l'accent roumain d' Evan Rachel Wood...
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Un film catastrophique qui oscille entre l’action-aventure et la comédie surréaliste, le tout sur un lit de ketchup.
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Le film n’est pas pire que Charlie Countryman lui-même.
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Rien de particulièrement nécessaire dans ce film.
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Un film inutile.