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Ce week-end, lors du congrès de Tours du FN, un journaliste de France 24 a affirmé avoir été victime de violences. Selon le site d'Europe 1, le parti, désormais représenté par Marine Le Pen, dément et engage une procédure à son encontre.

Ce week-end, lors du congrès de Tours du FN, un journaliste de France 24 a affirmé avoir été victime de violences. Selon le site d'Europe 1, le parti, désormais représenté par Marine Le Pen, dément et engage une procédure à son encontre. L'actualité politique de ce week-end était incontestablement l'élection de Marine Le Pen à la tête du FN. Lors du congrès de Tours qui a fait d'elle le successeur de son père, un journaliste de France 24 affirme avoir été exclue et victime de violence. Celui-ci aurait bénéficié d'un arrêt de travail de 15 jours suite à ces coups. Le site d'Europe 1 relate la réponse du Front National qui dément et qui engage une procédure en référé pour dénonciation calomnieuse. "Le journaliste se serait fait accorder 15 jours d’incapacité de travail or, selon les nombreux témoins, il n’aurait reçu aucun coup et ne présentait le lendemain aucune trace d’une quelconque agression”, affirme le parti de Marine Le Pen.Le Front National réclame une contre-expertise médicale pour savoir si le médecin du journaliste de France 24 a délivré une attestation de complaisance. Toujours selon Europe 1, si tel est le cas, le parti se réserve le droit de saisir le Conseil de l'Ordre des Médecins et d'engager également des procédures pénales contre le professionnel signataire de l'arrêt de travail.Une présidence qui commence bien pour Marine Le Pen !