Netflix a un nouveau succès : la série live action Avatar cartonne sur la plateforme.
Au top du podium des séries les plus vues en ce moment sur Netflix, Avatar le dernier maître de l'air a remporté l'épreuve du feu. La plateforme semble ravie de ce succès, puisqu’elle entreprend la commande de deux saisons supplémentaires, comme l’a annoncé TVLine. Les dates de sorties et le nombre d’épisodes n’ont pas été révélés, mais il s’agirait de conclure la série dans une ultime saison 3, fin du périple d’Aang.
Un baptême de l'air réussi
La première saison de huit épisodes a fait son entrée dans le catalogue Netflix le 22 février 2024, intégrant rapidement le rang de séries les plus regardées de la plateforme. Le projet live action de 120 million de dollars compte 41,1 millions de vues au cours de ses 11 premiers jours sur Netflix, dépassant même la série One Piece (37,8 millions), autre remake basé sur un animé.
Cette version s’émancipe de tous liens avec le film éponyme de M.Night Shyamalan sorti en 2010. La série live action Netflix reste fidèle à la série animée Nickelodeon créée par Michael Dante DiMartino et Bryan Konietzko, en mettant en lumière Gordon Cormier dans le rôle d’Aang, un jeune guerrier puissant, maître des quatre éléments (l’air, l’eau, la terre et le feu — dans cet ordre !) pour vaincre l’impitoyable Nation du Feu et rétablir l’ordre dans son monde ravagé par la guerre.
Le dessin animé éponyme avait emporté l’audience - aussi bien les enfants, les adolescents et même les adultes - dans son tourbillon folklorique chinois, voué à restaurer l’équilibre entre les éléments. En France, la série animée a été diffusée en 2005 sur TF1, mais aussi quelques années plus tard sur Nickelodeon France ainsi que sur Game One.
Albert Kim (Sleepy Hollow, Nikita) est au manettes de la production artistique, aux côtés de Dan Lin (La Grande Aventure Lego, Aladdin) et Lindsey Liberatore (Walker) qui assurent la production exécutive, avec Michael Goi (Swamp Thing, American Horror Story). Une fine équipe, qui justifie ce succès...
Cet Avatar a de grands airs de fantasy (critique)
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