Toutes les critiques de Le Marchand de sable

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Cousin de Nounours, le Marchand se sable sévit en Allemagne depuis plus de 50 ans. Une véritable institution télévisuelle qui trouve son aboutissement logique dans ce long-métrage. Un peu de Monstres et Cie par ici et un soupçon de Tim Burton par là : efficace sans être révolutionnaire.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Clément Sautet

    Mêlant le réel et l'imaginaire, les réalisateurs jonglent habilement entre parcours initiatique et humour farfelu, le tout dans un univers haut en couleurs, avec quelques séquences de gourmandise visuelle. Moller et Sakaoglu ont réussi leur pari de séduire les petits et de faire retomber les plus grand en enfance.

  2. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Il existe encore des réalisateurs qui ne prennent pas les enfants pour des entonnoirs à pixels, comme en témoigne l'univers poétique de ce Marchand de sable.

  3. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Jesper Moller (Astérix et les Vikings, 2006) a aussi su apporter une énergie épatante à ce film dynamique, passerelle entre modernité et tradition, entre enfance et maturité.

  4. Pariscope
    par Virginie Gaucher

    Inspiré du conte d’Andersen, ce film mêle l’animation de marionnettes à des prises de vue réelles (heureusement peu nombreuses car bien peu convaincantes). Pour le reste, ’équilibre est parfait pour les tout-petits : un univers qui tient du conte de Noël (le Marchand de Sable à la blanche barbiche vêtu de rouge, un Pays des Rêves où abondent bonbons, gâteaux et jouets), les blagues du facétieux mouton Philibert, un jeune enfant qui apprend à vaincre ses peurs.

  5. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Secondé par un mouton agacé de devoir sauter les barrières chaque nuit, le marchand de sable doit sauver le Pays des rêves, menacé par le machiavélique Tourni-Cauchemar. Une aventure pour les petits, cocasse et douillette, hommage à un personnage culte de la télévision des années 1950. Pas de relief mais un travail inspiré sur les matières et l’animation de marionnettes confèrent à ce délicieux conte créativité, poésie et douceur.

  6. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Si vous avez vu Madagascar et quelques autres grosses productions américaines, vous admirerez les efforts faits par les réalisateurs pour se conformer à ce modèle. Quant au résultat de ces efforts...