Eliminé le 26 novembre dernier après 150 victoires au jeu de France 2 Tout le monde veut prendre sa place, Dominique Bréard a accepté de répondre à nos questions. Entre reconversion professionnelle et nouvelle notoriété, son quotidien est bien rempli.

Eliminé le 26 novembre dernier après 150 victoires au jeu de France 2 Tout le monde veut prendre sa place, Dominique Bréard a accepté de répondre à nos questions. Entre reconversion professionnelle et nouvelle notoriété, son quotidien est bien rempli. La semaine dernière, Dominique Bréard, l'avocat star du jeu de Nagui sur France 2 Tout le monde veut prendre sa place, a été battu par Djamila après 153 participations, 150 victoires, 163 000 euros de gain, des voyages de rêve et une voiture. Pour Premiere.fr, il évoque cette expérience hors du commun mais aussi ses projets et son envie de reconversion professionnelle.pagebreakAprès cette fabuleuse aventure, qu'allez-vous faire de vos gains ? Quels sont vos projets ? Une partie de l'argent va me servir d'apport pour acheter une maison. Le reste va me servir pour préparer ma reconversion professionnelle. J'envisage de changer de métier, m'orienter vers l'animation radio, TV. Je suis en train de formuler des propositions. Les prises de contact, à l'heure actuelle, c'est moi qui les fait on ne vient pas me chercher. Vous avez participé à plusieurs jeux TV. Lequel avez-vous préféré ? Sur le plan de l'intensité, c'est de loin Tout le monde veut prendre sa place. Ça a créé quelque chose d'énorme. Ça a renforcé la confiance que je pouvais avoir dans mes capacités. Ça représente plusieurs mois de présence à l'antenne. Je suis quand même fier d'avoir participé à Questions pour un champion. C'est un jeu de culture générale qui a une espèce d'aura. Aimeriez-vous participer à d'autres jeux ? Pas du tout. C'est fini ! Vous êtes devenu une star malgré vous. Cela vous effraie-t-il ? Ça ne m'effraie pas. Je n'emploierais pas le terme de star. Je me suis fait une petite notoriété mais on ne me saute pas dessus pour me déshabiller dans la rue (rire). Vous avez perdu votre titre au surlendemain de votre grande victoire comme champion. Pur hasard ? Hasard total ! C'est quelque chose sur lequel j'insiste. La société accepte difficilement les coïncidences. Après les 130 victoires et le record de gains, j'avais décidé de ne plus racheter ma place. Je ne voulais pas lasser le public. La production vous-a-t-elle poussé à arrêter ? Quand j'ai arrêté la prod est venue me voir. Ils ont été un peu surpris. J'ai le sentiment que j'aurais pu rester autant que je voulais. Qui a été votre pire adversaire ? J'en ai eu plusieurs. Il y en a qui m'ont fait peur car ils ont fait des gros scores. Puis il y a eu la peur liée à mes propres scores. Mais il n'y a pas un nom qui me vient précisément. Existait-il une concurrence entre vous et Christophe Bourdon, le précédent champion ? C'est une concurrence que j'appelle concurrence saine. Quand on a commencé à me dire que j'entrais dans le top 5, j'ai senti la concurrence de la personne qui était devant. Quand je me suis retrouvé deuxième, j'ai senti la concurrence de Christophe. Ça a été un élément de motivation supplémentaire.