Il campe un énigmatique Robespierre dans le Napoléon de Gance (1925-1927). Son jeu, caractérisé par une sorte d'impassibilité traversée de frémissements, l'avait poussé au premier plan dans Pour une nuit d'amour (Y. Protazanov, 1921), Cur fidèle (J. Epstein, 1923), l'Inondation (L. Delluc, 1924) et surtout Fièvre (id., 1921). Après avoir été vedette jusqu'en 1929 et même réalisateur (la Lumière du cur, 1922), il lutte mal contre le parlant et, malgré des prestations dans des films de L'Herbier, Maurice Tourneur et Duvivier, il n'apparaît plus que fugitivement et à de longs intervalles.