Toutes les critiques de Un Sort pour Eloigner les Ténèbres (Documentaire)

Les critiques de Première

  1. Première
    par Hendy Bicaise

    Dans "Two Years at Sea", Ben Rivers filmait un homme reclus. Il suit désormais un nomade s’invitant dans des communautés isolées. La caméra serpente et quelques indices (suivez les triangles !) donnent l’illusion fascinante d’ un voyage défiant le temps et l’espace.

Les critiques de la Presse

  1. Paris Match
    par Yannick Vely

    Un bloc de cinéma qui tient de la transe tribale et nous renvoie, hagard, errer avec le héros sur le quai du port d'Oslo. Impressionnant.

  2. Excessif / TF1 News
    par Romain Le Vern

    Une seconde possibilité de découvrir le travail de Ben Rivers, réalisateur indispensable à une heure de standardisation extrême, œuvrant pour un cinéma sensible, minimal et beau, paré de mystère, parcouru par un sentiment de solitude cosmique.

  3. Le Monde
    par La redaction du Monde

    Un portrait onirique d’un ermite qui est aussi musicien, cherchant la transe dans la fusion avec la nature comme dans les orgies de décibels du black metal.

  4. Télérama
    par Télérama Télérama

    Signé Ben Russell et Ben Rivers, un voyage sensoriel dans le sillage du musicien Robert Aiki Aubrey Lowe, sur une île estonienne, dans la nature finlandaise ou encore lors d'un concert de black metal donné par son groupe à Oslo.

  5. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    On peut trouver l’aspect film-concert un peu ordinaire, et l’introduction dans la communauté parfois aléatoire et anecdotique. Mais la longue 
et énigmatique partie centrale, un bloc de temps et de réel lumineux, vaut à elle seule le déplacement.

  6. Libération
    par Julien Gester

    Une balade sauvage très soucieuse de son hermétisme magnétique et de la pesanteur de ses temps longs qui nous font éprouver, à plein, tout à la fois la fascination et l’éreintement que charrie cette divagation païenne aux contours et coutures (un peu trop) savamment floutés.

  7. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Une expérience humaine, vibrante de réalisme, d’une beauté radicale pour un public averti.