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Il y a tout. Du rire, des larmes, une mamma, une famille éclatée, le temps qui passe, des disputes, des réconciliations... Tout ce qu'on aime dans le cinéma italien de Risi, Scola ou De Sica. Pourtant, à l'exception de deux séquences aux allures de clips, rien ne fonctionne. La faute à un scénario en forme de best of surchargé, à une mise en scène étonnamment laide et, surtout, à l'absence hurlante de cette sincérité qui faisait la valeur des glorieux ancêtres que Paolo Virzi s'épuise à vouloir copier.
Toutes les critiques de La prima cosa bella
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Entre guerre et paix, cette radiographie d’une famille dysfonctionnelle touche par sa finesse psychologique et l’interprétation à fleur d’émotion.
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Malgré un sujet qui pourrait sembler plombant, Paolo Virzì, entre rire et émotion, brosse l’itinéraire de ce quadra dans l’Italie des années 1970 à aujourd’hui. A la fois drôle et émouvant, tout comme à la grande époque des films de Dino Risi
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La Prima Cosa Bella, comédie dramatique qui a connu un beau succès dans son pays
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Désigné lors des derniers oscars pour représenter l' Italie, cet " à la manière de " reste poussif, démonstratif.
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La prima cosa… n'est pas un film ordinaire mais plutôt un tourbillon de vie, proche des comédies italiennes des années 1960. Parfois, on se perd dans les méandres d'une intrigue brouillonne et des nombreux retours en arrière, mais le charme opère.
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Une leçon d'amour touchante avec de belles actrices.
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Deux films en un dans ce récent succès du cinéma italien (...) On se serait volontiers contenté du premier, futile mais acceptable, mais c'est hélas le second qui l'emporte compilant les pires travers du cinéma populaire italien.
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Le film, un mélo démonstratif, a engrangé une razzia de Donatello (les César italiens). Mais s’il a le mérite de révéler Micaela Ramazzotti (une bombe), il n’arrive pas à la cheville de ses modèles – ceux d’Ettore Scola – dont il lui manque, comparaison cruelle, la lecture politique ou générationnelle, et dont il ne fait que livrer une très pâle copie de l’élégie des regrets.