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Dans la droite lignée du premier épisode, Insidious 2, joue à fond la carte des projections astrales et du second degré. Pour spectateurs avertis.
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Trop de James Wan tue-t-il le cinéma du jeune maître ? Alors qu’il s’en est allé dans un autre genre, celui du blockbuster friqué (Fast & Furious 7), James Wan frise sûrement l’overdose avec Insidious : Chapitre 2 qui est une réussite d’une envergure moindre, si on le compare au récent Conjuring. Le rapprochement des deux dévaluera le petit dernier de l’écurie Wan, alors que ce sequel respecte son public et son genre, et mérite donc, une fois de plus le déplacement.
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Wan est de plus en plus à l’aise avec la caméra, il dirige bien les acteurs et sait maintenir le suspense.
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Cramponnez-vous au siège, le réalisateur de Saw vous fera vivre un cauchemar.
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oujours aussi présents et doués pour faire des bruits qui fichent la trouille dans la maison, les fantômes remontent du passé pour une suite signée par le très productif James Wan (Conjuring : Les dossiers Warren), aux effets certes faciles, mais de belle tenue, et qui glace insidieusement le sang.
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L’adieu au genre de l’auteur de “Saw” : imparfait, frôlant la série Z, mais attachant.
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Cette suite reprend là où le 1er s’était arrêté mais il est assez consistant, contient suffisamment de moments hilarants mais aussi terrifiants pour se suffire à lui-même.
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« Insidious 2 » existe peut-être grâce au premier mais Wan a le mérite d’avoir fait de la qualité sa priorité.
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Attention, film hanté ! James Wan poursuit son étude de la famille, mais au lieu de développer une personnalité propre, il pille le patrimoine horrifique – y compris son propre "Conjuring : les dossiers Warren", sorti il y a peu. D’où le bric-à-brac habituel : miroirs qui jouent des tours, placards engloutis de ténèbres, mystérieuse dame en blanc, demeures victoriennes en contre-plongée, portes rouges, travellings compensés… James Wan emballe tout ça avec le métier qu’on lui connaît, mais sa petite tambouille sent pas mal le réchauffé.
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Une suite qui a le mérite d'explorer de nouvelles pistes, là où d'autres auraient visé la redite.
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Deux mois après “Conjuring”, James Wan remet le couvert pour ce récit d'épouvante, solide et ludique, clairement adressé aux fans du premier volet.
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Bien que certaines intrigues plutôt bien trouvées interfèrent dans la seconde partie, ce film n’est dans l’ensemble pas effrayant.
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Ce 2ème volet n’est pas seulement inutile, il commet l’immense pêché de desservir son prédécesseur.
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Difficile de se remettre les zygomatiques du pillage en règle de Psychose, exécuté avec la finesse d'un hippopotame chargé au démérol.
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Cette 2ème partie est involontairement hilarante.
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Entre ratage involontaire et surprenante farce, James Wan livre un objet qu'on attendait définitivement pas de lui. Drôle de baroud d'honneur pour celui qui a toujours affiché un respect immodéré aux classiques qui l'ont forgé.
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James Wan dégaine cette suite qui s’appuie sur un scénario de petit malin revisitant à la fois le premier Insidious et... Psychose, d’Alfred Hitchcock. Hélas, la mise en scène trop démonstrative et l’impression de déjà-vu torpillent la peur.
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Une suite sans aucun intérêt, une sorte de « scary movie » intercalé de secousses incessantes.
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Wan a réutilisé la même formule démodée en allant piocher dans son vieux sac, on retrouve les grincements de porte, la voix de bébé, tout ce qui a déjà été utilisé dans le précédent.
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Un bazar du début à la fin, on ressent une impression d’inachevé, un travail réalisé sans conviction ni enthousiasme, ça ne met pas en valeur le film d’horreur.
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Un film qui aurait pu être divertissant s’il n’avait pas été aussi lent et si peu original.
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Un film d'horreur qui s'éloigne, pour son malheur et celui du spectateur, de la recette qui avait fait le succès du premier chapitre : ne rien montrer, tout suggérer.
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Insidious : Chapitre 2 » de faire preuve de paresse, avec son scénario mélangeant maison hantée, personnages à la « Psychose » et voyage dans le temps. Mais le réalisateur James Wan (« Saw », « Conjuring ») oublie l’essentiel : faire peur au spectateur.
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Pourquoi diable James Wan, qui a du talent, ne peut-il s'empêcher de finir ses films n'importe comment ? Comme dans "Conjuring", son enquête paranormale dans une maison hantée vire ici au grotesque. Frustrant, car la première heure fait vraiment peur.
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Quelques mois après "Conjuring", James Wan a été un peu gourmand. Manufacturée non sans opportunisme, la suite de "Insidious" reproduit - et amplifie - tout ce qui n'allait pas dans le premier volet. Du coup, si l'on peut prendre un plaisir coupable à retrouver la même équipe, on est malgré tout floués par ce film de petit malin volatil.