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Roger Moore balance sur ses partenaires à l'écran : "Zsa Zsa Gabor était un peu large du derrière"

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Dans ses mémoires, Roger Moore balance sur ses illustres partenaires

Dans ses mémoires, Roger Moore balance sur ses illustres partenaires

Dans ses mémoires, Roger Moore balance sur ses illustres partenaires

Dans ses mémoires, Roger Moore balance sur ses illustres partenaires

Dans ses mémoires, Roger Moore balance sur ses illustres partenaires

A 86 ans, Roger Moore n'a rien perdu de sa verve d'antan.L'ex James Bond vient de publier ses mémoires baptisées Last Man Standing: Tales From Tinseltown, dans lequel il partage des anecdotes croustillantes sur Hollywood. L'acteur britannique aujourd'hui interdit de martini pour cause de diabète y balance sur ses nombreuses partenaires à l'écran : Grace Kelly, Lana Turner, Zsa Zsa Gabor, Bette Davis, Ava Gardner ou encore Joan Collins...Si certaines de ces légendes de l'âge d'or du cinéma hollywoodien trouvent grâce à ses yeux, Roger Moore ne les brosse pas toutes dans le sens du poil et distille quelques jolies piques.Morceaux choisis.A propos de Zsa Zsa Gabor : "J'ai accompagné Zsa Zsa à une de ces premières et au dîner qui a suivi. Elle était d'une beauté exquise, bien qu'un peu large au niveau du derrière, voyez-vous."A propos de Grace Kelly : "Elle avait un sens de l'humour redoutable et un éclat vicieux dans le regard, particulièrement coquin. Grace a été un cadeau précieux à Monaco, bien que trop bref."A propos de Lana Turner : "Elle m'a appris à embrasser sur le tournage du film Diane. En fait, je pensais que ma technique était plutôt bonne - j'avais déjà été marié à deux reprises et je n'avais jamais reçu de plaintes dans le domaine - mais Lana m'a appris cette nouvelle technique 'la passion sans la pression' - quelle lady elle était !"A propos de Bette Davis : "Tout le staff avait pour consigne de l'applaudir quand elle entrait dans la pièce. Rapidement, il est apparu clairement que Bette n'était pas seulement méprisante avec ses partenaire mais qu'elle refusait aussi tout dialogue avec le réalisateur. Elle était au-dessus de ça, au dessus de parler ou de recevoir des directives de qui que ce soit."Plus d'anecdotes hollywoodiennes de Roger Moore dans The Last Man Standing : Tales from Tinseltown (également édité sous le nom de One Lucky Bastard : Tales from Tinseltown).