Sommaire de Première n° 519
Première
Première n° 519 : Angelina Jolie est en couverture
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Première n° 519 : Angelina Jolie est en couverture
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Première n° 519 : Best of des films qui ressortent en salles
Première
Première n° 519 : Rencontre avec Emmanuelle Béart
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Première n° 519 : Minari de Lee Isaac Chung
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Première n° 519 : Focus sur The Big Goodbye, de Sam Wasson, sur le tournage de Chinatown
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Première n° 519 : Angelina Jolie est en couverture
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Première n° 519 : Best of des films qui ressortent en salles
Première n° 519 : Rencontre avec Emmanuelle Béart
Première n° 519 : Minari de Lee Isaac Chung
Première n° 519 : Focus sur The Big Goodbye, de Sam Wasson, sur le tournage de Chinatown

Première n° 519 : Angelina Jolie est en couverture

Première n° 519 : Angelina Jolie est en couverture

Première n° 519 : Best of des films qui ressortent en salles

Première n° 519 : Rencontre avec Emmanuelle Béart

Première n° 519 : Minari de Lee Isaac Chung

Première n° 519 : Focus sur The Big Goodbye, de Sam Wasson, sur le tournage de Chinatown

Le numéro de juin 2021 arrive dans les kiosques ce mercredi.

Angelina Jolie est en couverture du nouveau numéro de Première. Au cours d’un long entretien, elle se confie sur son retour au premier plan en tant qu’actrice, d’abord dans Ceux qui veulent ma mort, de Taylor Sheridan, prévu pour cet été, puis dans Les Eternels, le super-film de Marvel réalisé par Chloe Zhao, qui doit sortir en novembre.

Autre rencontre, celle d’Emmanuelle Béart, qui illumine L’Etreinte et nous parle de son retour au cinéma après quelques années consacrées principalement au théâtre. Tye Sheridan, l’acteur de Mud, Joe, The Tree of Life ou encore Ready Player One, nous parle lui de Voyagers, un film de SF, et de The Tender Bar, la prochaine réalisation de George Clooney.

Emmanuelle Béart - L'Etreinte : "La caméra est devenue une amie"

Ca y est, les salles de cinéma françaises peuvent à nouveau accueillir du public et pour fêter ça, Première vous propose un best-of des interviews, portraits et dossiers consacrés aux films qui (re)sortent ces jours-ci : Adieu les cons, Garçon Chiffon, Nomadland, La Nuée, Sans un bruit 2… Focus également sur Minari, le film événement de Lee Isaac Chung, ainsi que sur le livre The Big Goodbye, de Sam Wasson, qui raconte les coulisses folles du tournage de Chinatown (Ben Affleck veut d’ailleurs en tirer un film).

Côté critiques, nos coups de coeur du mois s’intitulent Petite maman, de Céline Sciamma, The Father, de Florian Zeller, Le Discours, de Laurent Tirard… et parmi les séries, The Underground Railroad, de Barry Jenkins. Ce mois-ci, c’est Vincent Macaigne, de retour dans Médecin de nuit, qui joue au Film qui…

Bonne lecture !

The Father : Florian Zeller réussit ses débuts de réalisateur [critique]

Voici l’édito du n°519 :

Le changement, c'est maintenant ?

L'embouteillage annoncé des salles le 19 mai laisse penser que, finalement, rien ne changera. L’industrie du cinéma va vraisemblablement se recomposer comme avant les confinements. Si certains, comme Jason Blum dans les colonnes de Variety, pensent que la pandémie pourrait entraîner une recomposition et une renaissance du cinéma équivalente à l’explosion de la quality TV, la plupart des observateurs sont moins optimistes. Mais pour les spectateurs ? Est-ce que tout a changé ? Est-ce toujours comme avant ? C’est la question qui nous agite et qu’on aimerait vous poser, vu que vous lirez ce magazine dans le monde d’après alors que nous sommes toujours coincés dans le monde d’avant (on écrit ces lignes le 6 mai). À quoi ressemblent les séances de cinéma maintenant que l’on peut ENFIN y retourner ? Après plus d’un an de « screeners », de séances à la maison (passées à regarder son téléphone, à mettre pause, à relancer, à répondre à un coup de fil), il va falloir réapprendre à regarder vraiment un film. Dans le noir. Avec des inconnus. Ça va revenir vite, évidemment. Mais les mauvaises habitudes prises pendant un an de diète seront peut-être difficiles à perdre. On luttait déjà contre la twitterisation de la vie moderne avant l’épidémie, il va falloir retrouver notre qualité d’attention, se réadapter au tempo particulier de l’immersion et se laisser aller. Accepter au fond de (re)perdre le contrôle face aux films qui, au cinéma, sont plus forts que nous. Mais qui s’en plaindra ?

Gaël Golhen, rédacteur en chef

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