Jennifer Lawrence a été une des célébrités les plus touchées par le piratage massif de iCloud, le système de stockage de données Apple.Il y a un mois, des dizaines de photos intimes de l'actrice oscarisée pour Happiness Therapy, nue ou en pleins ébats, ont déferlé sur la Toile, relayées par des forums notoirement misogynes comme The Fappening ou 4Chan. Si J-Law avait jusque-là refusé de commenter le scandale, elle a décidé de s'exprimer pour la première fois.C'est au magazine Vanity Fair que revient la primeur de l'information. La star de 24 ans qui pose en couverture, topless dans ce qui semble être une piscine tropicale, sensuelle, la bouche entrouverte, est revenue sur cet épisode douloureux. Révoltant même."Le simple fait que je sois une personnalité publique, que je sois une actrice, ne veut pas dire que j'ai demandé ça. Ça n'est pas inclus dans le contrat. Il s'agit de mon corps et il devrait s'agir de mon choix, le fait que je n'aie pas eu le choix est absolument répugnant. Je n'arrive pas à croire que nous vivions dans ce genre de monde", s'est indignée la star de la franchise Hunger Games.Un tel scandale aurait pu avoir de lourdes conséquences sur son image, sa carrière et ses contrats d'égérie (elle représente la maison Dior). "J'étais terrifiée", confie Jennifer Lawrence à ce propos."Ce n'est pas un scandale. C'est un délit sexuel, une violation. C'est répugnant. Les lois doivent changer, nous devons changer. C'est pour cela que ces sites sont responsables. Le simple fait que quelqu'un puisse être exploité sexuellement et que son intimité soit violée, et que la première chose qui leur traverse l'esprit soit d'en tirer profit, ça me dépasse. Je ne peux pas imaginer comment on peut être si détaché de toute humanité, si inconscient, vide et sans aucune empathie", martèle la jeune star.Jennifer Lawrence, qu'on retrouvera dans Serena à partir du 12 novembre prochain, ne compte pas s'arrêter là. Elle a annoncé qu'elle attaquait Google en justice.Cliquez ICI pour lire l'interview dans son intégralité
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