Titre original Despicable Me
Date de sortie 6 octobre 2010
Durée 95 mn
Réalisé par Pierre Coffin, Chris Renaud
Avec Steve Carell , Pierre Coffin , Russell Brand
Scénariste(s) Cinco Paul, Ken Daurio
Distributeur Universal
Année de production 2010
Pays de production Etats-Unis, France, Japon
Genre Film d'animation
Couleur Couleur

Synopsis

Dans un charmant quartier résidentiel délimité par des clôtures de bois blanc et orné de rosiers fleurissants se dresse une bâtisse noire entourée d'une pelouse en friche. Cette façade sinistre cache un secret : Gru, un méchant vilain, entouré de ses minions, une myriade de sous-fifres, et armé jusqu'aux dents, complote le plus gros casse de tous les temps : voler la lune. Tout se complique le jour où il tombe nez à nez avec trois petites orphelines qui voient en lui quelqu'un de tout à fait différent : un papa.Existe en version 3D

Toutes les séances de Moi, moche et méchant

Critiques de Moi, moche et méchant

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Dès le prologue, où le potentiel de la 3D est parfaitement exploité, on sent bien que l’affaire est dans le sac : l’esprit cartoon de l’histoire, le design sympathiquement rond des personnages et l’animation fluide accrochent d’emblée. Quant au personnage de Gru, un vrai-faux méchant comme on n’en fait plus, il suscite une sympathie grandissante en raison de son goût pour les gadgets insensés et, surtout, grâce aux bien-nommés Minions qui l’entourent, cette horde de sous-fifres jaunes et gaffeurs avec leur voix et leur charabia rigolos. Côté scénario, Moi moche et méchant se présente comme une très jolie
    fable initiatique sur la paternité qui voit Gru et les orphelines ouvrir progressivement leur coeur. De comique (voir leur association forcée pour pénétrer l’antre
    imprenable de l’impossible Vector), leur relation devient de plus en plus attendrissante, pour atteindre son acmé dans une scène d’anthologie digne des meilleurs Disney où l’émotion vous étreint sans prévenir. En la voyant, on se dit que, définitivement, Pixar, Sony, 20th Century Fox et DreamWorks ont
    un sacré nouveau concurrent sur les bras.

  2. Première
    par Christophe Narbonne

    Dès le prologue, où le potentiel de la 3D est parfaitement exploité, on sent bien que l’affaire est dans le sac : l’esprit cartoon de l’histoire, le design sympathiquement rond des personnages et l’animation fluide accrochent d’emblée. Quant au personnage de Gru, un vrai-faux méchant comme on n’en fait plus, il suscite une sympathie grandissante en raison de son goût pour les gadgets insensés et, surtout, grâce aux bien-nommés Minions qui l’entourent, cette horde de sous-fifres jaunes et gaffeurs avec leur voix et leur charabia rigolos. Côté scénario, Moi moche et méchant se présente comme une très jolie
    fable initiatique sur la paternité qui voit Gru et les orphelines ouvrir progressivement leur coeur. De comique (voir leur association forcée pour pénétrer l’antre
    imprenable de l’impossible Vector), leur relation devient de plus en plus attendrissante, pour atteindre son acmé dans une scène d’anthologie digne des meilleurs Disney où l’émotion vous étreint sans prévenir. En la voyant, on se dit que, définitivement, Pixar, Sony, 20th Century Fox et DreamWorks ont
    un sacré nouveau concurrent sur les bras.

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Casting de Moi, moche et méchant

Pierre Coffin
les Minions
Russell Brand
le docteur Nefario
Kristen Wiig
Miss Hattie