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A priori, Hôtel Transylvanie arrive après la bataille de l’animation horrifique pour tous, déjà explorée, dynamitée et digérée par Tim Burton jusqu’au dernier Frankenweenie. La bonne nouvelle, c’est que Genndy Tartakovsky, venu de la télé (Star Wars – Clone Wars), ne se laisse pas démonter par la concurrence avec ce coup d’essai au mauvais esprit euphorisant. De quoi faire risette avec une bande de cintrés (la créature de Frankenstein, un homme invisible, un loup-garou) qui aiment la teuf jusqu’au bout de la nuit, les allusions aux productions Hammer et les répliques qui fusent – merci à Adam Sandler et à sa voix tordante de dépoussiérer ce barnum avec un humour à réveiller les morts. Mais le réalisateur nous propose aussi de quoi stimuler notre sensibilité avec son histoire touchante de Dracula père qui a peur de perdre sa fille et son romantisme de dernière minute. Sans la fin expédiée et l’éloge convenu de la tolérance, on tenait le nouveau Monstres & Cie.
Toutes les critiques de Hôtel Transylvanie
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Dracula a ouvert l’Hôtel Transylvanie pour ses amis les monstres sans compter sur l’arrivée d’un routard envahissant. Genndy Tartakovsky, as de l’animation, jongle avec les codes du fantastique en un mélange d’humour bon enfant et d’érudition cinéphile. On adore ça à deux sang pour sang !
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Largement de quoi faire hurler de rire toute la famille. Après avoir vu « Hôtel Transylvanie », vous ne pourrez plus associer les monstres des contes et du cinéma à des créatures de cauchemar, mais plutôt à des personnages au potentiel comique insoupçonné…
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Criblé de références, attendrissant, drôle, irrévérencieux, Hôtel Transylvanie est réjouissant.
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Un conte dynamique, drôle et extrêmement ingénieux, beaucoup de rire et d’émotion afin de toucher tous les âges.
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Hôtel Transylvanie , film d'animation pour les petits est une amusante introduction à l'univers des monstres. Des gags toutes les cinq secondes et aucun cri d'effroi.
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Ce dessin animé vif et inspiré fourmille de gags marrants et de personnages secondaires aimablement croqués.
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Un film d'animation qui ronronne au début avant de virer à l'hénaurme Barnum, farces et attrapes, gaffes, gags et dégâts. C'est un train fantôme lancé à fond les pédales dans le Grand huit, délicieux et extravagant. Embarquement immédiat.
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Sur une thématique proche de Dark Shadow, ce film d'animation irrévérencieux réussit là où Tim Burton à échoué. Drôle, inventif et revigorant !
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Bienvenue à ce Bal des Vampires sur le mode Monstres & CIe. Humeur festive, gothique attitude : soit des frissons et du rire garantis dès 6 ans.
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La 3D apporte un frisson vertigineux et une touche de claustrophobie dans ces couloirs en forme de labyrinthe.
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Depuis « Deux nigauds contre Frankenstein », les monstres n’avaient pas subi un aussi mauvais traitement visuel.
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Hôtel Transylvanie est un produit calibré au millimètre près pour plaire à son public-cible, ce qu’il fera sans aucun doute. Les autres passeront leur chemin.
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Un film d’animation un peu maladroit mais drôle même si l’intrigue ne mène à rien.
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Cette compilation de vieilles références de l’épouvante, vague hommage à l’âge d’or de la Warner des années 30 et 40, joue sur la frénésie des dialogues et de l’action pour combler la relative vacuité de son propos. La 3D n’arrangeant rien, les effets sont souvent trop hystériques et systématiques pour être tout à fait drôles, comme si les scénaristes n’avaient pas eu assez confiance en leurs gags pour les laisser se développer, s’égarant dans un système narratif épuisant où l’un chasse l’autre à toute allure.
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Le réalisateur a eu la présence d’esprit de ressusciter les vampires et les fantômes qu’on a tous dans notre inconscient.
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Vous ne serez pas scotché par ce film d’animation mais ce n’est pas « le roi lion » non plus.
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Un défilé de blagues sans fil conducteur.
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En dépit de la réalisation soignée, ce film hommage au bestiaire fantastique noie le potentiel de ses personnages dans un discours de tolérance monstrueusement niais.
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Le film perd de son originalité puisque la fin est totalement prévisible mais on passe un bon moment tout de même.
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Hotel Transylvanie est un régal de tous les instants, dont la fantaisie pleine d'humour, le rythme endiablé et la vivacité d'animation séduiront petits et grands.
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par Yann Lebecque
Les enfants s'amuseront (...) à suivre ce conte gentillet sans surprise, les plus grands goûteront à leur valeur les innombrables plaisanteries (...) qui émaillent ce long-métrage inventif et sans temps mort.
Bon délire entre monstres, très proche dans l’esprit du Croque Monstre Show, série animée culte, récréatif mais sans épaisseur.
Un divertissement vitaminé pour toute la famille, dans la lignée de l'animation inspirée de films d'horreur.
Un gentil Dracula en animation 3D accueille d'autres gentils monstres dans son château-hôtel tout confort. Sympa, mais déjà vu et archivu.
L'histoire manque singulièrement d'âme et de charme. Mais l'indéniable savoir-faire parvient à sauver la mise.
Hôtel Transylvanie est électrique et drôle, mais doté d'une esthétique hideuse.
Même l’animation est ratée.
Les monstres de « Hotel Transylvanie » sont décevants.
Synthèse de tout ce que le cinéma d'animation peut avoir de plus antipathique (...) "Hôtel Transylvanie" ne trouve son maigre salut que dans les talents chorégraphiques de son metteur en scène. Quelle déception, bon sang ...
En soi, l'idée de réunir tout le bestiaire des monstres les plus connus du cinéma sous un même toit a de quoi séduire. Hélas, le noyau scénaristique principal (Dracula) plombe durablement le film. Le problème réside moins dans ce ténu fil rouge narratif que dans le ton employé : celui de la comédie pouêt-pouêt.