Toutes les critiques de Bis

Les critiques de la Presse

  1. Gala
    par Jean-Christian Hay

    "Bis", c’est exac­te­ment ce que l’on a envie de dire quand le mot fin appa­raît et que les lumières de la salle se rallument.

  2. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Depuis l'avènement des "Visiteurs", Dominique Farrugia est parvenu à éviter les écueils du déjà-vu avec cette comédie solidement tenue par deux maîtres du genre : Dubosc et Merad, véritablement excellents. Grâce à eux, la nostalgie est toujours ce qu'elle était. On dit : "Bis !"

  3. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Le retour en 2015 des deux copains est, certes, ten­dre, mais nettement plus plan-plan. Si on nous avait dit qu'un jour on trouverait Dominique Farrugia un peu trop sage...

  4. Culture box by france Tv
    par Pierre-Yves Grenu

    Effet de surprise aidant, les gags sont nombreux dans la première partie du film, mais la veine comique se tarit progressivement jusqu'à une fin sans génie, un peu gnan-gnan, pour tout dire. Reste néanmoins le plaisir de voir un duo qui fonctionne bien, Merad et Dubosc ont du métier et savent tenir une comédie bien charpentée, ce qui est le cas ici.

  5. Cinenews.be
    par Jérémy Troosters

    Cette comédie ne marque évidemment pas pour l’originalité de son scénario. Cependant, là où le film reste intéressant et surtout drôle c’est dans les multiples références que le duo s’amuse à balancer à tout-va lors de cette deuxième jeunesse. Ce film reste néanmoins des plus classiques dans son intrigue et dans ses personnages, à voir sans prise de tête donc.

  6. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    On regrette une mise en scène sans relief et des effets spéciaux à la "Joséphine, ange gardien". Mais si le démarrage est laborieux et le scénario ne sort jamais vraiment de ses rails, on reste surpris et emballé par la drôlerie de situations irrésistibles et par l’abattage des acteurs.

  7. A voir à lire
    par Tristan Gauthier

    Enchaînement de vannes plus ou moins bidons sur un scénario plat comme les montagnes d’Auvergne et dépourvu de toute originalité. Un bel exemple des ravages générés par la désormais récurrente "peoplarisation" de la comédie française.