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Dialogues insolents, avalanche de gags incorrects, et réflexion plutôt fine sur l'éternelle insatisfaction de l'homo occidentalus.
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Paud Rudd et Jennifer Aniston, forment un couple attachant dans cette comédie épatante. Même si rien n'est inédit, on rit de bon coeur devant ces bobos coincés entre nudistes et échangistes.
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Cette virée chez les babas, est aussi cool que sympa.
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Le choc des cultures est amusant jusqu'à ce que les lois du scénario hollywoodien reprennent les commandes.
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Peace, Love et Plus si Affinités provoque autant de crispations qu'un embouteillage sans fin en plein Manhattan.
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Dans l’écurie Judd Apatow, David Wain fait davantage fi gure de bourrin que de pur-sang. Flanqué de ses fidèles acteurs Paul Rudd et Ken Marino (également coscénariste), le voilà à nouveau dans les startingblocks, trois ans après Les Grands Frères. Mais, dès les premières images, on sent que la course est perdue d’avance. Il y a quelque chose de pourri au royaume de l’écriture, une paresse scénaristique embarrassante lestée de gags éculés. Pour la vision sarcastique de la communauté hippie, autant revoir Les Babas cool, de François Leterrier. Dès lors, pourquoi accorder une étoile à un tel ratage ? Certainement pas pour Jennifer Aniston, toujours aussi limitée et insupportable, mais plutôt pour Ken Marino. Avec ses faux airs de Brendan Fraser nourri à la bière, ce gars est délicieux en gros beauf friqué. Pour le coup, on en redemande.
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Une comédie cliché qui vire au vulgaire.
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Produite par Judd Apatow, cette comédie baba cool se révèle vite ultrabalisée. Mais confirme Jennifer Aniston comme actrice par excellence des films d'avion : sans remous.
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C'est Paul Rudd qui trinque le plus, servi par les monologues embarrassants.
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L'histoire déroule tant de banalités et de longueurs, que, avec la meilleure volonté du monde il est impossible de rire ou de s'émouvoir. N'en demandons pas plus : entre eux et nous, il n'y a pas d'affinité.
Peace, love et plus si affinités