Toutes les critiques de Orage

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Adapté du roman de Marguerite Duras, "Dix heures et demie du soir en été" (déjà tourné par Jules Dassin en 1966), ce premier long métrage met en scène les défaites de l’amour. Celles de Maria (Marina Foïs), alcoolique, qui voit son mariage sombrer. Celles d’un jeune Maghrébin qui a assassiné son épouse française et son amant. Si les raisons qui poussent l’héroïne à sauver le meurtrier donnent le vertige, l’ensemble manque de corps et de punch. C’est dommage car en ajoutant le prisme du racisme et en jouant avec les temporalités (l’action se situe aujourd’hui mais semble hantée par le passé), le réalisateur ne manquait ni d’idées ni d’ambition.

  2. Première
    par Isabelle Danel

    Adapté du roman de Marguerite Duras, Dix heures et demie du soir en été (déjà tourné par Jules Dassin en 1966), ce premier long métrage met en scène les défaites de l’amour. Celles de Maria (Marina Foïs), alcoolique, qui voit son mariage sombrer. Celles d’un jeune Maghrébin qui a assassiné son épouse française et son amant. Si les raisons qui poussent l’héroïne à sauver le meurtrier donnent le vertige, l’ensemble manque de corps et de punch. C’est dommage car en ajoutant le prisme du racisme et en jouant avec les temporalités (l’action se situe aujourd’hui mais semble hantée par le passé), le réalisateur ne manquait ni d’idées ni d’ambition. 

Les critiques de la Presse

  1. Culture box by france Tv
    par Boris Courret

    Sami Bouajila, en monstre froid, minéral est troublant de justesse et de retenue. L'âpreté et la tension de leur confrontation ne retombent à aucun instant.

  2. Culture box by france Tv
    par Boris Courret

    Sami Bouajila, en monstre froid, minéral est troublant de justesse et de retenue. L'âpreté et la tension de leur confrontation ne retombent à aucun instant. 

  3. StudioCiné Live
    par Thomas Baurez

    Le récit s'étiole inexorablement...

  4. Libération
    par Didier Péron

    Emballé dans une photographie au chromatisme métallique de ciel plombé, "Orage" ne devrait pas fonctionner du tout et cependant embarque par l’étrange séduction d’une loi d’entropie qui entraîne les personnages dans le fossé, au bas d’une falaise.

  5. Le JDD
    par Alexis Campion

    Des péripéties invraisemblables mais énoncées habilement, et que Marina Foïs et Sami Bouajila habitent avec force dans une atmosphère tout électrique.

  6. Gala
    par Marie Haynes

    Sans jamais tomber dans le pathos et ni dans l’ex­cès, Marine Foïs excelle dans le rôle de cette femme qui ne supporte son exis­tence qu’à travers l’al­cool et le fantasme d’une autre vie incar­née par Nabil.

  7. StudioCiné Live
    par Thomas Baurez

    Le récit s'étiole inexorablement...

  8. Libération
    par Didier Péron

    Emballé dans une photographie au chromatisme métallique de ciel plombé, Orage ne devrait pas fonctionner du tout et cependant embarque par l’étrange séduction d’une loi d’entropie qui entraîne les personnages dans le fossé, au bas d’une falaise.

  9. Le JDD
    par Alexis Campion

    Des péripéties invraisemblables mais énoncées habilement, et que Marina Foïs et Sami Bouajila habitent avec force dans une atmosphère tout électrique. 

  10. Télérama
    par Pierre Murat

    On sombre très vite dans la vacuité. (...) Les comédiens ne peuvent rien sauver. Tout, dans Orage, est grandiloquent : les espaces et les sentiments.

  11. La Croix
    par Arnaud Schwartz

    En dépit d’une affiche plutôt prometteuse, l’étincelle ne se produit jamais. Ce qui tenait par la magie de l’écriture durassienne ne laisse à l’écran qu’impression d’artifice et d’invraisemblance, avant de laisser poindre l’ennui – le comble, s’agissant d’un film de cavale.

  12. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Ce qui frappe d'abord dans ce premier film, c’est la laideur morale – symptomatique d’une forme très française de haine de soi – de tous les personnages.

  13. La Croix
    par Arnaud Schwartz

    En dépit d’une affiche plutôt prometteuse, l’étincelle ne se produit jamais. Ce qui tenait par la magie de l’écriture durassienne ne laisse à l’écran qu’impression d’artifice et d’invraisemblance, avant de laisser poindre l’ennui – le comble, s’agissant d’un film de cavale.

  14. Télérama
    par Pierre Murat

    On sombre très vite dans la vacuité. (...) Les comédiens ne peuvent rien sauver. Tout, dans Orage, est grandiloquent : les espaces et les sentiments.

  15. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Ce qui frappe d'abord dans ce premier film, c’est la laideur morale – symptomatique d’une forme très française de haine de soi – de tous les personnages.

  16. A voir à lire
    par la rédaction d'Avoir à lire

    Malheureusement, le film échoue lourdement à apporter la moindre subtilité, et plus le récit avance, plus il sombre dans la psychologie de comptoir, avec sa bourgeoise en mal de sensations fortes, son meurtrier au fond sympathique.

  17. A voir à lire
    par la rédaction d'A voir à lire

    Malheureusement, le film échoue lourdement à apporter la moindre subtilité, et plus le récit avance, plus il sombre dans la psychologie de comptoir, avec sa bourgeoise en mal de sensations fortes, son meurtrier au fond sympathique.