-
Ce documentaire somme portant sur Saint-Pierre et-Miquelon alterne interviews sérieuses (passionnantes sur le plan historique), images folkloriques et réflexions bucoliques qui resituent l’importance géostratégique de cet archipel français méconnu, à quelques encablures de l’île canadienne de Terre-Neuve. Le côté catalogue de l’énumération, l’absence de point de vue et le manque total d’ambition formelle apparentent cependant le projet à un clip interminable de l’office du tourisme local.
Toutes les critiques de La Forme des Iles (Documentaire)
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
Dépaysant documentaire sur l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon, qui entremêle les témoignages des habitants pour reconstituer des fragments d'histoire économique (le déclin de la pêche) ou politique (le ralliement à la France libre). Façon journal intime, il raconte aussi ses promenades à travers des paysages superbes.
-
Dépaysant documentaire sur l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon, qui entremêle les témoignages des habitants pour reconstituer des fragments d'histoire économique (le déclin de la pêche) ou politique (le ralliement à la France libre). Façon journal intime, il raconte aussi ses promenades à travers des paysages superbes.
-
Le film, formellement très pauvre, passe sans logique d'un sujet à un autre. On décroche vite.
-
L’histoire et la géographie de ces îles méconnues des métropolitains sont examinées dans un style de syndicat d’initiative et ne dépareraient pas un programme scolaire du petit écran. La piste du second degré est envisageable, mais peu évidente, en dehors d’une insistance suspecte sur la production philatélique locale, présentée par un autochtone assez space.
-
L’histoire et la géographie de ces îles méconnues des métropolitains sont examinées dans un style de syndicat d’initiative et ne dépareraient pas un programme scolaire du petit écran. La piste du second degré est envisageable, mais peu évidente, en dehors d’une insistance suspecte sur la production philatélique locale, présentée par un autochtone assez space.
-
En somme, le film évoque moins le timbre poste, fierté artistique de l’archipel et emblème possible d’un art mineur (ou minuscule) que le post-it, dont il partage l’adhérence quelque peu bancale. Incapable de dépasser le stade de la proposition, pourtant riche, pour atteindre une densité cinématographique, La Forme des îles peine à laisser une véritable empreinte.
-
En somme, le film évoque moins le timbre poste, fierté artistique de l’archipel et emblème possible d’un art mineur (ou minuscule) que le post-it, dont il partage l’adhérence quelque peu bancale. Incapable de dépasser le stade de la proposition, pourtant riche, pour atteindre une densité cinématographique, La Forme des îles peine à laisser une véritable empreinte.
