-
Viols, vols, règlements de comptes, corruption, trafics en tout genre, la criminalité au cinéma n’a pas de frontière, mais quand elle télescope la comédie musicale Bollywood, genre chéri des Indiens, on peut dire que le mariage est explosif, comme le démontre L’Allumette, la première réalisation de P. Kinslin. Entre bastons, conflits familiaux et histoire d’amour, le métrage a de quoi surprendre et surtout de quoi plaire.
-
« L’allumette » est un voyage dans un cinéma qui chante, seulement quatre chansons dans cette histoire faite de bagarres et de courses poursuites, mais surtout qui nous dit l’énergie d’un pays.
-
Sur l'ensemble, le film reste un peu long pour ce qu'il a à dire et ses ambitions demeurent bien modestes, et bien moins prenantes, que celles d'un Anurag Kashyap pour ce fleuron de la Nouvelle vague qu'est Gangs of Wasseypur. L'Allumette reste néanmoins une comédie romantique intéressante, et un pas de plus sur le chemin tortueux que le cinéma indien de ces derniers années arpente.
-
Un gloubiboulga digne des plus grandes kitscheries made in Bollywood. Et trop long, beaucoup trop long.
-
Polar mièvre et interminable de P. Kinslin sur un chauffeur de taxi traqué. Musique sirupeuse et psychologie de bazar.