Toutes les critiques de Dalton Trumbo

Les critiques de Première

  1. Première
    par Gérard Delorme

    Il n’est jamais inutile de rappeler l’Histoire, et Jay Roach le fait aussi sérieusement que les frères Coen évoquaient la même période sur le ton de la comédie dans Ave César! Cette fois, aucun aspect de cette triste affaire n’est passé sous silence: la campagne de délation, les lâchetés, les injustices, les amitiés et les vies détruites. Mais la tentation de l’amertume est contrebalacée par le point de vue choisi, celui d’un artiste exemplaire, géné- reux, constructif et tolérant. Bryan Canston incarne Dalton Trumbo à la perfection sous ses multiples facettes: l’humaniste qui assume ses convictions jusqu’en prison ; le technicien hors pair, qui invente sa propre version du traitement de texte longtemps avant l’apparition de l’informatique ; et le père de famille débordé par son travail. 

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Sophie Benamon

    La réussite de Dalton Trumbo réside dans l'aisance de Jay Roach à mêler parfaitement l'aspect comique de la situation et son revers tragique.

  2. Le Parisien
    par Alain Grasset

    Le casting est au diapason de ce biopic réussi, à commencer par un extraordinaire Bryan Cranston (le héros de la série « Breaking Bad »), saisissant de crédibilité dans le rôle de Trumbo.

  3. Le Point
    par Victoria Gairin

    Il n'en montre pas moins toutes les facettes du personnage, qui pouvait se montrer aussi drôle en société qu'irascible avec ses proches. Un rythme enlevé, quelques accords jazzy et la perversité d'une Helen Mirren remarquable dans le rôle de Hedda Hopper, ex-vedette devenue pasionaria tenace de l'anticommunisme, font le reste. 

  4. Télérama
    par Cécile Mury

    Dans la peau de cet homme exceptionnel, à la fois attachant et tyrannique, rusé et intègre, Bryan Cranston (Breaking bad) tient le rôle de sa vie. On irait voir le film rien que pour son charisme, son énergie, son élégance narquoise, jusqu'au bout de la moustache.

  5. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Jay Roach met l’accent sur la période la plus sombre de son existence tandis que Bryan Cranston (Breaking Bad) livre une performance impeccable en se glissant dans sa peau. 

  6. Metronews
    par La rédaction de Metro

    Avec ce biopic, classique dans sa forme mais édifiant dans sa représentation de l’époque, le cinéaste Jay Roach s’appuie sur le jeu impressionnant de Bryan Cranston pour relater la carrière tourmentée de cet artiste, de ses débuts jusqu’à la rédaction du script qui le sauva : Spartacus.

  7. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    Récit émouvant de la lutte d'un homme de conviction Dalton Trumbo est porté par le talent de Bryan Cranston.

  8. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Finement écrit, élégant dans sa reconstitution hollywoodienne, joué par un casting cinq étoiles (...) ce biopic (...) n’est pas un grand film politique, mais un divertissement intelligent qui donne envie de se plonger ou replonger dans ces pages fascinantes et terribles de l’Histoire américaine qu’il évoque.
     

  9. Nouvel Obs
    par François Forestier

    On voit, dans le film, les plus grands noms de Hollywood se déculotter devant les roquets : c’est affreux et passionnant.

  10. Le Figaro
    par Eric Neuhoff

    Un film malicieux de Jay Roach.

  11. Le JDD
    par Barbara Théate

    Drôle, élégant et irascible, Bryan Cranston (épatant) donne toute sa truculence à cet artiste pugnace qui a réussi à contourner le système pour mieux le dynamiter. 

  12. CinémaTeaser
    par Aurélien Allin

    Brillamment interprété par Bryan Cranston, Trumbo revit ici devant une caméra bien sage. Sans réel souci de mise en scène ou de style, Roach déroule un biopic sans esthétique, sans parti-pris visuel, assez plat et générique.

  13. CinémaTeaser
    par Aurélien Allin

    Brillamment interprété par Bryan Cranston, Trumbo revit ici devant une caméra bien sage. Sans réel souci de mise en scène ou de style, Roach déroule un biopic sans esthétique, sans parti-pris visuel, assez plat et générique.

  14. Les Inrocks
    par Théo Ribeton

    Bryan Cranston lui prête une interprétation criarde, trop soucieuse de son flegme et de son charisme, à l’image d’un film qui lui aussi saisit l’époque façon carte postale sans vraiment chercher à en comprendre les rouages au-delà de leurs manifestations les plus superficielles.