Dans une interview au Point.fr, le président de Radio France, Jean-Luc Hees revient sur les remous entre Philippe Val, le directeur de France Inter et Stéphane Guillon, chroniqueur de Salut les terriens et Omar et Fred, le duo d’humoristes qui sévit chaque soir au Grand Journal sur Canal +, qu’il souhaiterait recruter sur les ondes.
Dans une interview au Point.fr, le président de Radio France, Jean-Luc Hees revient sur les remous entre Philippe Val, le directeur de France Inter et Stéphane Guillon, chroniqueur de Salut les terriens et Omar et Fred, le duo d’humoristes qui sévit chaque soir au Grand Journal sur Canal +, qu’il souhaiterait recruter sur les ondes.Jean-Luc Hees, le grand patron de Radio France, a tenu à commenter la polémique dénonçant régulièrement la verve matinale de Stéphane Guillon sur France Inter, qu’il réitère chaque samedi sur le plateau de Salut les terriens et évoque Omar et Fred, dont l’humour le séduit.Stéphane Guillon, le trublion de l’émission de Thierry Ardisson, Salut les terriens, doit faire face depuis plusieurs jours à la contestation de Philippe Val, le directeur de France Inter, qui n’apprécierait guère les invectives de l’humoriste à l’égard des dirigeants de l’antenne.Le président de Radio France prend du recul et tente de relativiser l’impact de cette affaire : "France Inter ne se réduit pas à Stéphane Guillon, sinon ça coûterait trop cher. Je lui ai dit que l'insulte et la diffamation, ça ne fait pas partie de l'humour. Et si c'est ce qu'il veut faire, qu'il aille faire ça ailleurs. J'ai des relations affectives avec Guillon."Outre Stéphane Guillon, Jean-Luc Hees envisage, pour la prochaine rentrée de septembre, de développer l’image humoristique de France Inter et voue une véritable admiration au duo culte du SAV, Omar Sy et Fred Testot : "Je les admire. Ils me font hurler de rire."Une fascination qui conduit le chef d’entreprise à envisager une arrivée prochaine des humoristes de Canal + sur France Inter : "À chaque fois que je les croise, j'essaie de les faire venir. Je distribue ma carte de visite mais jusque là, ils ne m'ont jamais répondu. Je leur dis : "C'est un devoir de citoyen de travailler sur le service public." Ils se sauvent en courant !"A l'image de Jean-Luc Hees, la bonne humeur reste de rigueur sur France Inter !
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