Depuis déjà quelques années, Pamela Anderson est très engagée dans la défense des droits des animaux, notamment avec la PETA. Mais hélas pour la bimbo d'Alerte à Malibu, sa publicité où elle pose à moitié nue n'a pas été affichée sur une place à Montréal car, d'après Pamela, les canadiens sont trop "puritains".Sur la nouvelle campagne pour la PETA (People for the Ethical Treatment of Animals), Pamela Anderson pose en bikini violet avec marqué sur chaque partie de son corps des termes de bouchers, décrivant chaque morceau de viande. Cette publicité devait être mise pour la première fois sur la place Jacques-Cartier à Montréal au Canada mais hélas, la ville n'a pas accepté l'affiche ! Dès que Pamela, grande militante pour cette cause, a su ça, elle a pris le premier avion pour se rendre sur place et, très déçue, elle a donné son avis sur le problème. "C'est vraiment triste qu'une femme soit interdite d'utiliser son propre corps pour une protestation politique sur la souffrance de vaches et des poulets." a-t-elle déclaré. "Dans certaines parties du monde, les femmes sont forcées de couvrir leurs corps entiers de burqas : c'est ce qui va se passer ensuite ? Je n'aurais jamais pensé que le Canada était si puritain." Au moins, ça, c'est dit !Mais lorsque l'on demande des explications à la ville, le commissaire de la ville Josee Rocheford explique, dans un email pour la PETA, que voir tous les jours Pamela Anderson, qui avait déjà dévoilé son corps pour ses convictions, presque nue sur une affiche n'est pas acceptable et bénéfique pour la population, pour l'image des femmes. "Je dois vous informer que nous, qui sommes des fonctionnaires représentant le gouvernement municipal, ne pouvons pas approuver cette image de Mme Anderson." a-t-il écrit. "Il n'est pas compliqué de voir que cela va contre tous les principes des associations publiques qui luttent éternellement pour l'égalité entre les hommes et les femmes." ."Le Vice-président senior Dan Mathews de la PETA, qui a été dans la ville en même temps que Pamela, a lui aussi donné son avis. "Je pense que les fonctionnaires de la ville ont confondu "sexy" avec "sexisme"." En tout cas, Pamela est revenue bredouille de cette expédition. Rien à faire, la ville de Montréal ne veut pas changer d'avis. Qu'en pensez-vous ? Croyez-vous que cette publicité est vraiment dégradante pour la femme ? Donnez-nous votre avis.