PHOTOS - Trois nouvelles affiches féeriques de La Belle et la Bête
L'affiche officielle
Un décor majestueux pour la Belle et la Bête dans la première des trois nouvelles affiches
Des posters aussi magiques et mystérieux que les illustrations des contes populaires de notre enfance.Une semaine avant la sortie de La Belle et la Bête, trois nouvelles affiches sont apparues, belles variations de la première. Léa Seydoux et Vincent Cassel posent dans des décors féeriques. Pour ces petits bijoux, le réalisateur Christophe Gans a retrouvé le grand affichiste Laurent Lufray (9 mois ferme, The Artist, Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, Le Cinquième Elément) avec qui il avait déjà collaboré pour Le Pacte des Loups. Les escaliers interminables, la végétation luxuriante, les rais de lumière mystérieux, le bal qui brille de milles feux, les costumes dorés et ornés : tout rappelle l'ambiance des contes de notre enfance, des images d'un autre temps qui bercent l'imaginaire de tous. Il y a du Jean Cocteau, inévitablement, mais aussi une inspiration du côté des illustrations des contes de Perrault par Gustave Doré. Dans ces gravures du XIXème siècle, Peau d'Âne a aussi droit à un escalier infini, le château de la Belle au Bois Dormant est aussi envahi par une végétation menaçante et magique. La belle et la bête est un conte écrit par Madame de Villeneuve (1740) et non par Perrault mais la comparaison est possible. <strong>Christophe Gans évoquait d'ailleurs l'auteur dans les pages de Première</strong> : <em> "Des contes de fées comme Le Petit Poucet et Peau d?Âne abordent des sujets aussi sombres que le cannibalisme ou l?inceste. De la même façon, La Belle et la Bête tourne autour de la bestialité, c?est-à-dire de la passion d?une femme pour un hybride mi-homme, mi-animal, un demi-dieu à proprement parler. La qualité poétique des contes de fées est indissociable de leur dimension transgressive". </em>Ces affiches font bien ressentir cette part plus sombre et mystérieuse mêlée au caractère féerique plus proche de l'enfance car l'objectif du réalisateur est bien de "<em>s'adresser à tout le monde</em>". Comme les deux premières bande-annonce qui se complètent, <strong>l'une soulignant cet aspect enfantin et féerique du conte</strong> et <strong>l'autre le souffle épique et visuel</strong>, ces posters annoncent un film qui balance entre la magie traditionnelle et la prouesse visuelle, entre imaginaire lointain et techniques modernes. Après les deux trailers, une nouvelle vidéo dédiée au dîner entre la Bête et sa "prisonnière" fait écho aux affiches. Bel amuse-bouche en attendant la sortie le 12 février.
Une salle de bal qui brille de milles feux ...
Des posters aussi magiques et mystérieux que les illustrations des contes populaires de notre enfance.Une semaine avant la sortie de La Belle et la Bête, trois nouvelles affiches sont apparues, belles variations de la première. Léa Seydoux et Vincent Cassel posent dans des décors féeriques. Pour ces petits bijoux, le réalisateur Christophe Gans a retrouvé le grand affichiste Laurent Lufray (9 mois ferme, The Artist, Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, Le Cinquième Elément) avec qui il avait déjà collaboré pour Le Pacte des Loups. Les escaliers interminables, la végétation luxuriante, les rais de lumière mystérieux, le bal qui brille de milles feux, les costumes dorés et ornés : tout rappelle l'ambiance des contes de notre enfance, des images d'un autre temps qui bercent l'imaginaire de tous. Il y a du Jean Cocteau, inévitablement, mais aussi une inspiration du côté des illustrations des contes de Perrault par Gustave Doré. Dans ces gravures du XIXème siècle, Peau d'Âne a aussi droit à un escalier infini, le château de la Belle au Bois Dormant est aussi envahi par une végétation menaçante et magique. La belle et la bête est un conte écrit par Madame de Villeneuve (1740) et non par Perrault mais la comparaison est possible. <strong>Christophe Gans évoquait d'ailleurs l'auteur dans les pages de Première</strong> : <em> "Des contes de fées comme Le Petit Poucet et Peau d?Âne abordent des sujets aussi sombres que le cannibalisme ou l?inceste. De la même façon, La Belle et la Bête tourne autour de la bestialité, c?est-à-dire de la passion d?une femme pour un hybride mi-homme, mi-animal, un demi-dieu à proprement parler. La qualité poétique des contes de fées est indissociable de leur dimension transgressive". </em>Ces affiches font bien ressentir cette part plus sombre et mystérieuse mêlée au caractère féerique plus proche de l'enfance car l'objectif du réalisateur est bien de "<em>s'adresser à tout le monde</em>". Comme les deux premières bande-annonce qui se complètent, <strong>l'une soulignant cet aspect enfantin et féerique du conte</strong> et <strong>l'autre le souffle épique et visuel</strong>, ces posters annoncent un film qui balance entre la magie traditionnelle et la prouesse visuelle, entre imaginaire lointain et techniques modernes. Après les deux trailers, une nouvelle vidéo dédiée au dîner entre la Bête et sa "prisonnière" fait écho aux affiches. Bel amuse-bouche en attendant la sortie le 12 février.
Les mêmes rais de lumière pour éclairer la princesse de Gustave Doré et celle de Christophe Gans
... tout comme celui de la Belle au Bois Dormant dans cette gravure de Gustave Doré
Des posters aussi magiques et mystérieux que les illustrations des contes populaires de notre enfance.Une semaine avant la sortie de La Belle et la Bête, trois nouvelles affiches sont apparues, belles variations de la première. Léa Seydoux et Vincent Cassel posent dans des décors féeriques. Pour ces petits bijoux, le réalisateur Christophe Gans a retrouvé le grand affichiste Laurent Lufray (9 mois ferme, The Artist, Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, Le Cinquième Elément) avec qui il avait déjà collaboré pour Le Pacte des Loups. Les escaliers interminables, la végétation luxuriante, les rais de lumière mystérieux, le bal qui brille de milles feux, les costumes dorés et ornés : tout rappelle l'ambiance des contes de notre enfance, des images d'un autre temps qui bercent l'imaginaire de tous. Il y a du Jean Cocteau, inévitablement, mais aussi une inspiration du côté des illustrations des contes de Perrault par Gustave Doré. Dans ces gravures du XIXème siècle, Peau d'Âne a aussi droit à un escalier infini, le château de la Belle au Bois Dormant est aussi envahi par une végétation menaçante et magique. La belle et la bête est un conte écrit par Madame de Villeneuve (1740) et non par Perrault mais la comparaison est possible. <strong>Christophe Gans évoquait d'ailleurs l'auteur dans les pages de Première</strong> : <em> "Des contes de fées comme Le Petit Poucet et Peau d?Âne abordent des sujets aussi sombres que le cannibalisme ou l?inceste. De la même façon, La Belle et la Bête tourne autour de la bestialité, c?est-à-dire de la passion d?une femme pour un hybride mi-homme, mi-animal, un demi-dieu à proprement parler. La qualité poétique des contes de fées est indissociable de leur dimension transgressive". </em>Ces affiches font bien ressentir cette part plus sombre et mystérieuse mêlée au caractère féerique plus proche de l'enfance car l'objectif du réalisateur est bien de "<em>s'adresser à tout le monde</em>". Comme les deux premières bande-annonce qui se complètent, <strong>l'une soulignant cet aspect enfantin et féerique du conte</strong> et <strong>l'autre le souffle épique et visuel</strong>, ces posters annoncent un film qui balance entre la magie traditionnelle et la prouesse visuelle, entre imaginaire lointain et techniques modernes. Après les deux trailers, une nouvelle vidéo dédiée au dîner entre la Bête et sa "prisonnière" fait écho aux affiches. Bel amuse-bouche en attendant la sortie le 12 février.
Peau d'Âne aussi a droit à un escalier infini dans cette gravure de Gustave Doré
Des posters aussi magiques et mystérieux que les illustrations des contes populaires de notre enfance.Une semaine avant la sortie de La Belle et la Bête, trois nouvelles affiches sont apparues, belles variations de la première. Léa Seydoux et Vincent Cassel posent dans des décors féeriques. Pour ces petits bijoux, le réalisateur Christophe Gans a retrouvé le grand affichiste Laurent Lufray (9 mois ferme, The Artist, Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, Le Cinquième Elément) avec qui il avait déjà collaboré pour Le Pacte des Loups. Les escaliers interminables, la végétation luxuriante, les rais de lumière mystérieux, le bal qui brille de milles feux, les costumes dorés et ornés : tout rappelle l'ambiance des contes de notre enfance, des images d'un autre temps qui bercent l'imaginaire de tous. Des posters aussi magiques et mystérieux que les illustrations des contes populaires de notre enfance.Une semaine avant la sortie de La Belle et la Bête, trois nouvelles affiches sont apparues, belles variations de la première. Léa Seydoux et Vincent Cassel posent dans des décors féeriques. Pour ces petits bijoux, le réalisateur Christophe Gans a retrouvé le grand affichiste Laurent Lufray (9 mois ferme, The Artist, Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, Le Cinquième Elément) avec qui il avait déjà collaboré pour Le Pacte des Loups. Les escaliers interminables, la végétation luxuriante, les rais de lumière mystérieux, le bal qui brille de milles feux, les costumes dorés et ornés : tout rappelle l'ambiance des contes de notre enfance, des images d'un autre temps qui bercent l'imaginaire de tous. Il y a du Jean Cocteau, inévitablement, mais aussi une inspiration du côté des illustrations des contes de Perrault par Gustave Doré. Dans ces gravures du XIXème siècle, Peau d'Âne a aussi droit à un escalier infini, le château de la Belle au Bois Dormant est aussi envahi par une végétation menaçante et magique. La belle et la bête est un conte écrit par Madame de Villeneuve (1740) et non par Perrault mais la comparaison est possible. <strong>Christophe Gans évoquait d'ailleurs l'auteur dans les pages de Première</strong> : <em> "Des contes de fées comme Le Petit Poucet et Peau d?Âne abordent des sujets aussi sombres que le cannibalisme ou l?inceste. De la même façon, La Belle et la Bête tourne autour de la bestialité, c?est-à-dire de la passion d?une femme pour un hybride mi-homme, mi-animal, un demi-dieu à proprement parler. La qualité poétique des contes de fées est indissociable de leur dimension transgressive". </em>Ces affiches font bien ressentir cette part plus sombre et mystérieuse mêlée au caractère féerique plus proche de l'enfance car l'objectif du réalisateur est bien de "<em>s'adresser à tout le monde</em>". Comme les deux premières bande-annonce qui se complètent, <strong>l'une soulignant cet aspect enfantin et féerique du conte</strong> et <strong>l'autre le souffle épique et visuel</strong>, ces posters annoncent un film qui balance entre la magie traditionnelle et la prouesse visuelle, entre imaginaire lointain et techniques modernes. Après les deux trailers, une nouvelle vidéo dédiée au dîner entre la Bête et sa "prisonnière" fait écho aux affiches. Bel amuse-bouche en attendant la sortie le 12 février.
La végétation vient aussi orner le château chez Jean Cocteau..
Des posters aussi magiques et mystérieux que les illustrations des contes populaires de notre enfance.Une semaine avant la sortie de La Belle et la Bête, trois nouvelles affiches sont apparues, belles variations de la première. Léa Seydoux et Vincent Cassel posent dans des décors féeriques. Pour ces petits bijoux, le réalisateur Christophe Gans a retrouvé le grand affichiste Laurent Lufray (9 mois ferme, The Artist, Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, Le Cinquième Elément) avec qui il avait déjà collaboré pour Le Pacte des Loups. Les escaliers interminables, la végétation luxuriante, les rais de lumière mystérieux, le bal qui brille de milles feux, les costumes dorés et ornés : tout rappelle l'ambiance des contes de notre enfance, des images d'un autre temps qui bercent l'imaginaire de tous. Il y a du Jean Cocteau, inévitablement, mais aussi une inspiration du côté des illustrations des contes de Perrault par Gustave Doré. Dans ces gravures du XIXème siècle, Peau d'Âne a aussi droit à un escalier infini, le château de la Belle au Bois Dormant est aussi envahi par une végétation menaçante et magique. La belle et la bête est un conte écrit par Madame de Villeneuve (1740) et non par Perrault mais la comparaison est possible. <strong>Christophe Gans évoquait d'ailleurs l'auteur dans les pages de Première</strong> : <em> "Des contes de fées comme Le Petit Poucet et Peau d?Âne abordent des sujets aussi sombres que le cannibalisme ou l?inceste. De la même façon, La Belle et la Bête tourne autour de la bestialité, c?est-à-dire de la passion d?une femme pour un hybride mi-homme, mi-animal, un demi-dieu à proprement parler. La qualité poétique des contes de fées est indissociable de leur dimension transgressive". </em>Ces affiches font bien ressentir cette part plus sombre et mystérieuse mêlée au caractère féerique plus proche de l'enfance car l'objectif du réalisateur est bien de "<em>s'adresser à tout le monde</em>". Comme les deux premières bande-annonce qui se complètent, <strong>l'une soulignant cet aspect enfantin et féerique du conte</strong> et <strong>l'autre le souffle épique et visuel</strong>, ces posters annoncent un film qui balance entre la magie traditionnelle et la prouesse visuelle, entre imaginaire lointain et techniques modernes. Après les deux trailers, une nouvelle vidéo dédiée au dîner entre la Bête et sa "prisonnière" fait écho aux affiches. Bel amuse-bouche en attendant la sortie le 12 février.
Un escalier interminable et des rais de lumière mystérieux...
Des posters aussi magiques et mystérieux que les illustrations des contes populaires de notre enfance.Une semaine avant la sortie de La Belle et la Bête, trois nouvelles affiches sont apparues, belles variations de la première. Léa Seydoux et Vincent Cassel posent dans des décors féeriques. Pour ces petits bijoux, le réalisateur Christophe Gans a retrouvé le grand affichiste Laurent Lufray (9 mois ferme, The Artist, Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, Le Cinquième Elément) avec qui il avait déjà collaboré pour Le Pacte des Loups. Les escaliers interminables, la végétation luxuriante, les rais de lumière mystérieux, le bal qui brille de milles feux, les costumes dorés et ornés : tout rappelle l'ambiance des contes de notre enfance, des images d'un autre temps qui bercent l'imaginaire de tous. Il y a du Jean Cocteau, inévitablement, mais aussi une inspiration du côté des illustrations des contes de Perrault par Gustave Doré. Dans ces gravures du XIXème siècle, Peau d'Âne a aussi droit à un escalier infini, le château de la Belle au Bois Dormant est aussi envahi par une végétation menaçante et magique. La belle et la bête est un conte écrit par Madame de Villeneuve (1740) et non par Perrault mais la comparaison est possible. <strong>Christophe Gans évoquait d'ailleurs l'auteur dans les pages de Première</strong> : <em> "Des contes de fées comme Le Petit Poucet et Peau d?Âne abordent des sujets aussi sombres que le cannibalisme ou l?inceste. De la même façon, La Belle et la Bête tourne autour de la bestialité, c?est-à-dire de la passion d?une femme pour un hybride mi-homme, mi-animal, un demi-dieu à proprement parler. La qualité poétique des contes de fées est indissociable de leur dimension transgressive". </em>Ces affiches font bien ressentir cette part plus sombre et mystérieuse mêlée au caractère féerique plus proche de l'enfance car l'objectif du réalisateur est bien de "<em>s'adresser à tout le monde</em>". Comme les deux premières bande-annonce qui se complètent, <strong>l'une soulignant cet aspect enfantin et féerique du conte</strong> et <strong>l'autre le souffle épique et visuel</strong>, ces posters annoncent un film qui balance entre la magie traditionnelle et la prouesse visuelle, entre imaginaire lointain et techniques modernes. Après les deux trailers, une nouvelle vidéo dédiée au dîner entre la Bête et sa "prisonnière" fait écho aux affiches. Bel amuse-bouche en attendant la sortie le 12 février.
Des posters aussi magiques et mystérieux que les illustrations des contes populaires de notre enfance.Une semaine avant la sortie de La Belle et la Bête, trois nouvelles affiches sont apparues, belles variations de la première. Léa Seydoux et Vincent Cassel posent dans des décors féeriques. Pour ces petits bijoux, le réalisateur Christophe Gans a retrouvé le grand affichiste Laurent Lufray (9 mois ferme, The Artist, Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, Le Cinquième Elément) avec qui il avait déjà collaboré pour Le Pacte des Loups. Les escaliers interminables, la végétation luxuriante, les rais de lumière mystérieux, le bal qui brille de milles feux, les costumes dorés et ornés : tout rappelle l'ambiance des contes de notre enfance, des images d'un autre temps qui bercent l'imaginaire de tous. Il y a du Jean Cocteau, inévitablement, mais aussi une inspiration du côté des illustrations des contes de Perrault par Gustave Doré. Dans ces gravures du XIXème siècle, Peau d'Âne a aussi droit à un escalier infini, le château de la Belle au Bois Dormant est aussi envahi par une végétation menaçante et magique. La belle et la bête est un conte écrit par Madame de Villeneuve (1740) et non par Perrault mais la comparaison est possible. Christophe Gans évoquait d'ailleurs l'auteur dans les pages de Première : "Des contes de fées comme Le Petit Poucet et Peau d’Âne abordent des sujets aussi sombres que le cannibalisme ou l’inceste. De la même façon, La Belle et la Bête tourne autour de la bestialité, c’est-à-dire de la passion d’une femme pour un hybride mi-homme, mi-animal, un demi-dieu à proprement parler. La qualité poétique des contes de fées est indissociable de leur dimension transgressive". Ces affiches font bien ressentir cette part plus sombre et mystérieuse mêlée au caractère féerique plus proche de l'enfance car l'objectif du réalisateur est bien de "s'adresser à tout le monde". Comme les deux premières bande-annonce qui se complètent, l'une soulignant cet aspect enfantin et féerique du conte et l'autre le souffle épique et visuel, ces posters annoncent un film qui balance entre la magie traditionnelle et la prouesse visuelle, entre imaginaire lointain et techniques modernes. Après les deux trailers, une nouvelle vidéo dédiée au dîner entre la Bête et sa "prisonnière" fait écho aux affiches. Bel amuse-bouche en attendant la sortie le 12 février.
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