Toutes les critiques de L'Eclat du Jour

Les critiques de Première

  1. Première
    par Joachim Cohen

    Jeune acteur de théâtre reconnu et littéralement habité par les rôles qu’il interprète sur scène, Philipp se partage entre Vienne et Hambourg. Sa vie bien remplie laisse peu de place aux autres. Mais l’irruption de son oncle Walter, vieux baroudeur et ancien artiste de cirque, va bouleverser son existence. Touchante variation sur le métier de saltimbanque et ses corollaires – la solitude et la pauvreté –, L’Éclat du jour vaut d’abord pour la belle composition de Walter Saabel en vieil amuseur oublié de tous.

Les critiques de la Presse

  1. A voir à lire
    par Nicolas Bonnes

    Filmé à la manière d’un documentaire, L’éclat du jour dresse le portrait de deux personnages que tout oppose pour finalement nous convier à une belle leçon de vie.

  2. Les Inrocks
    par J.B. Morain

    Le cinéma singulier de Covi et Frimmel plonge des personnages réels dans un bain de fiction. Après La Pivellina, une nouvelle réussite généreuse en émotion.

  3. Libération
    par Julien Gester

    On retrouve là une profonde délicatesse, une clarté très aiguë du trait et, malgré quelques accents convenus, un dégoût de l’artifice narratif qui conduisent le récit à ne se déployer qu’au travers des tensions organiques.

  4. L'Humanité
    par Vincent Ostria

    Une œuvre tendre, intime et virevoltante, tournée entre Hambourg et Vienne, dont l’essentiel est son dialogue à la Diderot entre le Circassien et le jeune acteur.

  5. StudioCiné Live
    par Clément Sautet

    Toujours en retenue, les réalisateurs prennent le parti du pamphlet contre l'éphémère et de la vacuité que véhicule parfois le monde du spectacle. Et le spectateur de se retrouver envoûté, notamment par un duo d'acteurs au jeu sensible.

  6. Les Fiches du cinéma
    par Michel Berjon

    À la manière d'un documentaire, cette humble chronique sociale se confronte à la réalité européenne. Plus que le talent d'un comédien, c'est l'humanité de son oncle qui éclate au grand jour.

  7. Les Cahiers du cinéma
    par Florence Maillard

    Le film, délicat, paraît dénué de tout centre de gravité.

  8. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    le film assume complètement et de manière cohérente sa dimension fictionnelle. Si les deux acteurs sont proches des personnages qu’ils incarnent (...), l’écriture des dialogues et des scènes témoignent d’une cohabitation stimulante entre l’artifice et le réel. C’est de ce fragile équilibre que L’Éclat du jour tire sa force (...) Sans enjeux dramaturgiques (...), l’œuvre de Tizza Covi et Rainer Frimmel se laisse porter par une sorte d’étrange flottement. Si cette absence de didactisme scénaristique donne parfois le sentiment de ne pas trop savoir où les deux cinéastes veulent en venir, elle confère au film une liberté de ton qui fait de cette ode du retour au réel un objet fragile mais précieux.

  9. Le Monde
    par Jean-François Rauger

    L'Eclat du jour confirme ainsi le talent singulier de Tizza Covi et de Rainer Frimmel, leur capacité à dépeindre un univers où le traumatisme et l'angoisse de l'abandon déterminent le sort de personnages dessinés avec une grande vérité (...).

  10. Télérama
    par Samuel Douhaire

    Les réalisateurs de « La Pivellina » restent fidèles à leur style, naturalisme documentaire et semi-improvisation des acteurs. Le charme agit toujours, malgré un récit trop prévisible.

  11. Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Pas tout à fait palpitante, cette rencontre ressemble un peu à un documentaire.