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Heavy Girls suit le quotidien de Sven, dont la mère est atteinte de la maladie d’Alzheimer. Amoureux de Daniel, l’auxiliaire de vie qui s’occupe d’elle, il va peu à peu laisser parler ses sentiments. Le manque de moyens (500 euros de budget environ) explique sans doute les plans tremblants et les contre-jours. Le spectateur, lui, se sent vite voyeur devant
ces deux hommes souvent nus qui improvisent avec tout le naturel des acteurs amateurs. Le résultat, hasardeux mélange de Strip-Tease et de Groland, est plus impudique que provocateur.
Toutes les critiques de Heavy Girls
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Avec une subtilité inouïe. A la fois tendre et loufoque, cette petite fable qui n’a rien coûté s’envisage comme un bijou aussi précieux que cabossé.
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Une passion assez improbable, mais contée ici avec la poésie décalée et l’humour bord-cadre des films à la Delépine et Kervern. Des références quasi-“grolandaises” qui confèrent à ce petit film allemand, bardé de prix dans les festivals, une certaine folie contagieuse.
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Axel Ranisch emballe une improbable comédie romantique, où s’entremêlent sensibilité, mauvais goût et tendresse. Lourd, mais capiteux comme un strudel à la crème.