Invitée ce jeudi du Buzz Média Orange-Le Figaro, Catherine Nayl, dont le poste de directrice de l'information de TF1 aurait été menacé par Axel Duroux, contredit cette rumeur. Explications…

Invitée ce jeudi du Buzz Média Orange-Le Figaro, Catherine Nayl, dont le poste de directrice de l'information de TF1 aurait été menacé par Axel Duroux, contredit cette rumeur. Explications…Alors que lepoint.fr révélait que le récent départ d'Axel Duroux de TF1 était étroitement lié à son intention d'évincer Laurence Ferrari et Catherine Nayl de leurs places respectives au service de l'information de la chaîne, l'une des deux intéressées, Catherine Nayl, est revenue sur cette affaire pour le Buzz Média Orange-Le Figaro.Selon l'actuelle directrice de l'information de TF1, "beaucoup de contrevérités, de clichés, d'inexactitudes" ont été annoncées au moment du départ précipité de l'ex directeur général, il y a une semaine. Après seulement un mois de collaboration avec Nonce Paolini, le journaliste venu de RTL pour aider TF1 à remonter ses audiences n'aurait pas pris la porte après avoir eu de telles intentions rejettées. "A aucun moment je n'ai eu de conversation avec lui sur une réforme de l'information, à aucun moment il n'a pointé du doigt un présentateur. Aujourd'hui, à TF1, personne n'est menacé de quoi que ce soit", affirme Catherine Nayl.Celle-ci a également tenu à souligner que le constat alarmant émis par lepoint.fr, qui rappelle que le journal de Laurence Ferrari est en baisse auprès des femmes (lire la news), est erroné puisque selon elle, "depuis la rentrée, [M6] a perdu 100.000 téléspectateurs, notamment des femmes, alors que TF1 enregistre un point supplémentaire sur les femmes de moins de 50 ans". Elle rappelle également les chiffres suivants : " Le 20 heures de Laurence Ferrari attire 100.000 téléspectateurs de plus par jour par rapport au premier semestre 2009".Enfin, Catherine Nayl nous apprend la volonté du groupe de "mutualiser les services d'appoint rédactionnel" depuis la rentrée. Ainsi, "LCI va déménager dans la tour TF1 pour rejoindre la rédaction de TF1", explique-t-elle, mais "chacun des supports" conservera sa ligne éditoriale. Elle termine : "Nous monterons fin novembre une opération groupée [baptisée] "Une semaine pour l'emploi" sur laquelle travailleront les 330 journalistes des rédactions des journaux de TF1, de LCI et d'Internet".