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Lancée dès la première minute, la bouteille du titre n’est que l’une des naïvetés dont regorge ce film un peu trop cousu de fil blanc, où le manichéisme historico-pacifiste règne en maître. Pourtant, il s’en dégage une certaine grâce et un vrai sens de l’observation des personnages. Associées à un propos moins schématique, ces qualités auraient sans doute donné un résultat plus marquant que cette gentille chronique.
Toutes les critiques de Une bouteille à la mer
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Porté par la vérité de jeu d'Agathe Bonitzer et la magnétique présence de Mahmoud Shalaby, ce beau film est chaque minute plus captivant et porteur d'un espoir pas du tout flottant.
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Binistri raconte évidemment les effets collatéraux du conflit israélo-palestinien mais son film est avant tout un bel exercice de style sur le partage et l'envie de comprendre, de dépasser ses propres certitudes. Ce beau scénario, qui ne lâche pas prise, est porté par une brochette d'acteurs sensibles.
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Sur fond de conflit israëlo-palestinien Thierry Binisti explore le thème des amitiés interdites. En dépit d'une certaine naïveté, on s'attache à son héroïne interprétée par la subtile Agathe Bonitzer
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Avec délicatesse, "Une bouteille à la mer" ne verse ni dans l'angélisme ni dans le manichéisme et a le mérite de chercher ce qui rapproche sans occulter ce qui divise.
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Primé par cinq fois, dont une récompense pour l’interprétation de Mahmoud Shalaby ( Les hommes libres), Une bouteille à la mer mêle petite histoire et grande histoire dans cette chronique d’une beauté tragique, presque shakespearienne, du conflit israëlo-palestinien.
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Une jeune Française installée avec ses parents en Israël entame un dialogue par courrier électronique avec un jeune Palestinien de Gaza. Deux personnages attachants qui nous offrent l'élan de leur jeunesse, leur envie d'ouverture sur le monde, et font le charme étonnant de ce film.
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S'il n'évite pas toujours les clichés ou une certaine naïveté, le film de Thierry Binisti a le mérite éminemment louable de porter un regard neuf et différent sur le conflit israëlo-palestinien.
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Avec Une bouteille à la mer, le réalisateur Thierry Binisti renoue de façon épistolaire le dialogue israélo-palestinien.
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Joliment mis en scène, teinté de bleu et d'orangé, Une Bouteille à la Mer est plus intéressant dans ce qu'il dit à la France. La culture française n'appartient pas aux français, elle est un bien commun à l'humanité.
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Portée par un interprétation sensible, cette évocation du conflit israëlo-palestinien, à hauteur d'ados, trouve toujours le ton juste pour évoquer e drame humain, sans manichéisme ni bons sentiments.
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Presque un conte de fées, sauf que le film ne nous cache pas la triste réalité de l'angoisse des attentats meurtriers, de la paranoïa qui règne de part et d''autre.
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Cette fable contemporaine livre un message d'espoir aussi utile que séduisant.
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Une adolescente israélienne (Agathe Bonitzer) entre en contact à la manière de Robinson Crusoé avec un Palestinien de Gaza. Une volonté farouche de faire triompher les bons sentiments sur la haine et l'incompréhension ne suffit pas pour réussir un film.
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Le canevas est certes un peu naïf – au fil des lettres, les jeunes gens passent successivement par la compréhension et le rejet, l’attirance et la répulsion – mais la présence des acteurs (Agathe Bonitzer et Mahmud Shalaby) est si pleine et si gracieuse qu’on finit par se prendre au jeu.
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Ce n'est pas le premier film sur le thème de la réconciliation, mais il ouvre des nouveaux horizons.