Toutes les critiques de Tourbillon

Les critiques de Première

  1. Première
    par Sylvestre Picard

    Après le décès de son mari, Bastu, Brésilienne de 80 ans, se met à communiquer avec son fantôme. Malgré l’étourdissement suggéré par le titre, Tourbillon n’est rien d’autre qu’une succession de très longs plans fixes, de scènes de fêtes sombres et de
    traditionnelles fredonnées par des femmes hors d’âge. Le tout compose finalement un mélange assez hypnotique, mais ne parvient pas à trouver sa voie entre documentaire, expérimentation non narrative et simple fiction.

Les critiques de la Presse

  1. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Rythmée par le cours infini de la rivière proche, le Sao Francisco, la magie endeuillée de "Tourbillon" opère ainsi sans qu'on y prenne garde.

  2. Télérama
    par Blottière Mathilde

    En lui façonnant un écrin à la plastique sublime — camaïeux de bleus et d'ocres, clairs-obscurs presque irréels —, les réalisateurs lui insufflent un peu de la magie chère à Carlos Fuentes et Gabriel García Márquez.

  3. StudioCiné Live
    par Xavier Leherpeur

    Sur un synopsis aride (...) le film compose un beau poème musical et visuel. Un voyage sauvé du pittoresque par une mise en scène dessinée en naturalisme et onirisme.

  4. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Le documentaire de Helvécio Marins Jr. et Clarissa Campolina évite l’écueil du pittoresque enjoué pour dessiner le portrait contrasté, entre énergie débordante et mélancolie profonde, d’une femme haute en couleur, digne des romans de García Márquez ou Juan Rulfo.

  5. A voir à lire
    par Virgile Dumez

    Formellement abouti, ce premier film qui cherche à abolir la frontière entre documentaire et fiction est parfois trop conscient de sa forme au détriment du fond. Pour amateurs de cinéma contemplatif et exigeant.