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Dans ce documentaire libre et généreux sur Rabo de Peixe, un petit port des Açores, les cinéastes vont jusqu’à laisser les pêcheurs se filmer eux-mêmes. Séduits par la vie là-bas, ils y resteront deux années. Le spectateur aussi aura du mal à le quitter.
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Dans ce documentaire libre et généreux sur Rabo de Peixe, un petit port des Açores, les cinéastes vont jusqu’à laisser les pêcheurs se filmer eux-mêmes. Séduits par la vie là-bas, ils y resteront deux années. Le spectateur aussi aura du mal à le quitter.
Toutes les critiques de Le chant d'une île
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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A la pauvreté des pêcheurs répond celle du tournage, réalisé avec des moyens réduits ; à la liberté de leur esprit répond un montage, hybride, poétique, sauvage ; aux joies que leur procure, malgré toute sa dureté, la vie insulaire, répond la célébration du jaillissement de la vie qui donne au film un souffle lyrique bouleversant.
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A la pauvreté des pêcheurs répond celle du tournage, réalisé avec des moyens réduits ; à la liberté de leur esprit répond un montage, hybride, poétique, sauvage ; aux joies que leur procure, malgré toute sa dureté, la vie insulaire, répond la célébration du jaillissement de la vie qui donne au film un souffle lyrique bouleversant.
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Pinto et Leonel ne s’abîment pas non plus dans un exotisme de carte postale, et n’ont pas à en rajouter pour que résonne d’elle-même une vibration très fantasmatique au cœur du film (...)
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Jamais ne se clôt l’horizon de ce film attentif même à ceux dont il croise les lignes de joie et de détresse sans qu’ils n’en deviennent pour autant les personnages (...)
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Et si le film acquiert au fur et à mesure une densité où tout tient ensemble, où chaque état du temps apparaît comme un décalque de plus, c’est que son mouvement organique est fondé sur la présence physique.
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Pinto et Leonel ne s’abîment pas non plus dans un exotisme de carte postale, et n’ont pas à en rajouter pour que résonne d’elle-même une vibration très fantasmatique au cœur du film (...)
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Jamais ne se clôt l’horizon de ce film attentif même à ceux dont il croise les lignes de joie et de détresse sans qu’ils n’en deviennent pour autant les personnages (...)
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Et si le film acquiert au fur et à mesure une densité où tout tient ensemble, où chaque état du temps apparaît comme un décalque de plus, c’est que son mouvement organique est fondé sur la présence physique.
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Le temps de quelques saisons, des jours de tempête aux petits matins lumineux, cette expérience de partage ouvre un bel horizon.
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Le temps de quelques saisons, des jours de tempête aux petits matins lumineux, cette expérience de partage ouvre un bel horizon.
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De par la proximité des réalisateurs avec leur sujet, "Le Chant d'une île" laisse le spectateur en dehors de cette relation intimiste. Relation qui, avec son fil narratif répétitif, dégage un certain sentiment de lassitude.
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On apprécierait que les auteurs laissent au spectateur un peu plus de liberté, mais les images sont magnifiques, comme ces gens que le temps paraît avoir laissés derrière lui.
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De par la proximité des réalisateurs avec leur sujet, Le Chant d'une île laisse le spectateur en dehors de cette relation intimiste. Relation qui, avec son fil narratif répétitif, dégage un certain sentiment de lassitude.
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On apprécierait que les auteurs laissent au spectateur un peu plus de liberté, mais les images sont magnifiques, comme ces gens que le temps paraît avoir laissés derrière lui.