La cage dorée-
Ruben Alves livre une comédie communautaire sur une famille d’immigrés portugais. Sympa mais limitée par son angélisme et sa facture télévisuelle.
Toutes les critiques de La cage dorée
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Dans la veine « ethnique » de Joue-là comme Beckham, transposée dans la communauté portugaise, cette jolie comédie, entre humour et gravité, légèreté et profondeur, dispose de tous les atouts pour simposer comme un succès populaire.
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Ce petit bijou de comédie se déguste avec délice.
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Cette comédie sincère sur l’exil sort son épingle du jeu en évitant tout manichéisme, en tordant le cou aux clichés et en s’appuyant sur un casting irréprochable.
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Cette truculente authenticité pourrait bien valoir à ce premier film d'être plébiscité par le public.
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Feel-good movie qui surfe sur la vague du succès des Femmes du 6e étage de Philippe Le Guay avec des personnages portugais stéréotypés en proie à un changement soudain dans leur vie... Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, et c’est très bien comme ça.
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Les Ribeiro ont su se rendre indispensables. Quand leur entourage apprend qu'ils risquent de repartir au Portugal, ils sont prêts à tout pour les faire rester. Ruben Alves s'est plongé dans ses souvenirs d'enfance pour réaliser cette chaleureuse comédie à la française.
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une comédie qui parle à tous
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La prestation de Chantal Lauby est à remarquer, parfaite dans ce rôle de paumée à tendance hystérique. Au final, on passe un agréable moment, malgré les quelques longueurs et « blagues » de trop.
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Au-delà des clichés et des personnages stéréotypés, cette comédie reste sympathique en rendant un hommage tendre, souriant et inconditionnel aux travailleurs immigrés portugais.
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De l’adorable gardienne Rita Blanco à Roland Giraud, l’homme au couffin qui vieillit si bien, en passant par le truand d’une saison mythique de « 24 heures chrono » Joaquim de Almeida, reconverti ici en maçon au cœur tendre, ce film offre le plus cocooning des castings. On a beau être serré dans cette bruyante cage dorée, c’est si coloré, familier, douillet... qu’on aimerait y rester !
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Le réalisateur dédie cette comédie à ses parents. On s’attache à tous les membres de cette histoire familiale qui brasse les clichés pour mieux jouer avec. Il y a de la joie de vivre, beaucoup de simplicité, de bons sentiments et de la tendresse dans cette cage dorée. Un film sincère et touchant.
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Ce premier film joyeux est une « Feel Good Comédy » décomplexée permettant de retrouver la trop rare Chantal Lauby en bourgeoise.
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Un film qui a parfois du mal à accrocher, mais qui séduit par sa bonhomie, et où se distingue une Chantal Lauby drôlissime.
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Frais, léger, le premier film de Ruben Alves n’en reste pas moins une sorte de téléfilm amélioré un peu perdu sur grand écran.
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Ruben Alves signe une comédie sociale pétillante de vie, où il effleure des sujets complexes -- déracinement, intégration -- avec justesse et légèreté.
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Une comédie un peu convenue mais d'une étonnante délicatesse.
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Cette comédie populaire, pleine d’un humour tendre, rend hommage aux gardiennes d’immeubles d’origine portugaise.
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Premier film de Ruben Aves, sorte de version portugaise des Femmes du 6e étage. Mais dans un scénario trop vite téléphoné, une mise en scène bien plate et des interprètes qui en font des tonnes. Et des bons sentiments en veux-tu en voilà.
