-
(...) la durée du programme et l'absence d'images effrayantes le rendent accessible aux plus petits, dès 18mois.
-
Des écureuils, un éléphant et des abeilles sont les héros de ce programme de trois dessins animés. Dans « Pluie d’allégresse », un éléphant se vautre dans une prairie fleurie. Furieuses, les abeilles donnent une bonne leçon à cet empêcheur de butiner tranquille… Dans « C’est moi qui l’ai trouvé ! », un écureuil sans scrupules s’installe dans la maison d’un lapin. Mais tel sera pris qui croyait prendre… Un troisième dessin animé met en scène un écureuil aussi nerveux que Scrat (« L’âge de glace ») et ses espiègleries. Respect de la vie et respect des autres : les messages de ces dessins animés traditionnels en 2D mettent en scène un univers quotidien poétique adapté aux très jeunes spectateurs, tout comme le graphisme simple et léger.
-
La brièveté et la douceur de ce programme le destinent aux tout-petits. Les sciuridés dominent dans les films de Behzad Farahat qui a réalisé le court métrage qui donne son titre à cette compilation. Il faut d'ailleurs peut-être avoir moins de quatre ans pour saisir le lien entre la couleur verte et les actions de ce squatter qui s'est installé dans le terrier d'un lapin. La suavité exagérée des voix faussement enfantines, la banalité du graphisme démontrent au moins que le réalisateur a depuis trouvé sa voie.
-
De la modestie animée en provenance d’Iran, voilà ce qu’offre L’écureuil qui voyait tout vert. Ce spectacle 2D à l’ancienne, osant recourir à l’épure des formes et des dialogues afin de véhiculer des messages positifs sur le partage, le respect de l’autre et l’entraide, est surtout une ode paisible à la nature, que les tous-petits sauront savourer avec justesse et fascination.
- Cinéma
- Films
- Film d'animation
- L'écureuil qui voyait tout en vert
L'écureuil qui voyait tout en vert
Pressse
(4 critiques)