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par Yann Lebecque
Toutes les critiques de Hell Driver
Les critiques de la Presse
saluons une nouvelle fois la renaissance d'un cinéma de genre qui ose tous les excès, qui à aller dans la surenchère du cinéma d'exploitation. Quand elle est aussi bien faite qu'ici, on ne peut qu'adhérer.
Un pur bonheur à condition de laisser son cerveau au vestiaire pour se laisser emporter à un train d'enfer. Vroum!
Un pur bonheur à condition de laisser son cerveau au vestiaire pour se laisser emporter à un train d'enfer. Vroum!
Sans détour par l'habituelle tentation vintage, Hell Driver s'impose comme un vrai film d'exploitation. Ici nul maniérisme, hommage ou nostalgie cinéphile, Patrick Lussier ressuscite totalement l'esprit seventies. Et s'il était le premier ?
Sans détour par l'habituelle tentation vintage, Hell Driver s'impose comme un vrai film d'exploitation. Ici nul maniérisme, hommage ou nostalgie cinéphile, Patrick Lussier ressuscite totalement l'esprit seventies. Et s'il était le premier ?
Pure série B de très bon niveau (...) Jamais l’acteur (Nicolas Cage) n’a semblé si là et ailleurs, humain et monstrueux, invincible et torturé – une énigme.
Pure série B de très bon niveau (...) Jamais l’acteur (Nicolas Cage) n’a semblé si là et ailleurs, humain et monstrueux, invincible et torturé – une énigme
Un énième nanar assumé de l'acteur Nicolas Cage.
Un pop-corn movie à prendre au second degré.
Si vous aimez les décibels, les mouvements violents, les acteurs qui n'ont pas peur des clichés (ici Amber Heard et Nicolas Cage), Hell Driver est pour vous.
Un pop-corn movie à prendre au second degré.
Si vous aimez les décibels, les mouvements violents, les acteurs qui n'ont pas peur des clichés (ici Amber Heard et Nicolas Cage), Hell Driver est pour vous.
Une série B fantastique qui ne donne pas mal à la tête et vaut surtout par ses scènes d'action en bagnole.
Une série B fantastique qui ne donne pas mal à la tête et vaut surtout par ses scènes d'action en bagnole.
Outrancier également, le jeu de Nicolas Cage, qui sombre dans le ridicule un plan sur deux. Ce qui n’est pas le cas d’un autre comédien, seul intérêt de ce film : le génial William Fichtner (...), sidérant en envoyé du diable cynique et pince-sans-rire.
Outrancier également, le jeu de Nicolas Cage, qui sombre dans le ridicule un plan sur deux. Ce qui n’est pas le cas d’un autre comédien, seul intérêt de ce film : le génial William Fichtner (...), sidérant en envoyé du diable cynique et pince-sans-rire.
Un énième nanar assumé de l'acteur Nicolas Cage.
Hell Driver touche à l’essence de ce déséquilibre en inventant ce beau personnage de zombie roulant à tombeau ouvert en direction de la Louisiane : depuis Bad Lieutenant, Escale à la Nouvelle-Orléans (2010), Cage est assurément le plus vaudou des action heroes hollywoodiens.
Hell Driver touche à l’essence de ce déséquilibre en inventant ce beau personnage de zombie roulant à tombeau ouvert en direction de la Louisiane : depuis Bad Lieutenant, Escale à la Nouvelle-Orléans (2010), Cage est assurément le plus vaudou des action heroes hollywoodiens.
Cette virée vengeresse d’un mystérieux routard en cuir venu des enfers pour sauver le bébé de sa fille des griffes d’une secte démarre même sur les chapeaux de roue. (...) Passé cette première demi-heure, l’entreprise est rattrapée par son cahier des charges et noie son bon esprit vintage dans un fantastique de bazar, de banales poursuites en bagnoles et d’horribles effets spéciaux numériques censés tirer parti de la 3D.
Un joyeux bordel mélangeant violence et sexe, humour bourrin et cascades à gogo, le tout avec pléthore d’effets 3D qui sautent hors de l’écran. L’expérience pleine de rage finit tout de même à virer Z.
Cette virée vengeresse d’un mystérieux routard en cuir venu des enfers pour sauver le bébé de sa fille des griffes d’une secte démarre même sur les chapeaux de roue. (...) Passé cette première demi-heure, l’entreprise est rattrapée par son cahier des charges et noie son bon esprit vintage dans un fantastique de bazar, de banales poursuites en bagnoles et d’horribles effets spéciaux numériques censés tirer parti de la 3D.
Un joyeux bordel mélangeant violence et sexe, humour bourrin et cascades à gogo, le tout avec pléthore d’effets 3D qui sautent hors de l’écran. L’expérience pleine de rage finit tout de même à virer Z.