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Il est peut-être mignon, mais il joue mal ! Voici ce qu'on écrit en général la plupart des critiques new yorkais après avoir assisté hier soir à la performance de Jude Law pour la première fois dans la Grosse Pomme. Il faut dire que le sex-symbol, qui vient juste d'être papa d'une petite Sophia, s'est attaqué à un gros morceau : Hamlet, de Shakespeare ! Et s'il s'était déjà produit à Londres, où il avait été acclamé, Broadway lui fait moins de cadeaux. Son jeu, jugé peu subtil est pointé du doigt, par le New York Times en autres, qui écrit : "Si Hamlet parle de son esprit, vous pouvez être sûr que M. Law pointe son front. Quand il mentionne les cieux, son bras se lève immédiatement (...) Si chaque acteur jouait comme M. Law, le langage des signes destinées aux malentendants ne seraient pas nécessaires pendant les représentations". Mais comme le reconnait le célèbre journal, l'acteur britannique a le mérite de faire venir au théâtre des personnes qui ne s'y déplaceraient pas en temps normal... Juste pour ses beaux yeux, et non pour son bon jeu !