Alors que la 3D bat son plein (Là-Haut, Avatar…), une nouvelle technologie est en passe de révolutionner le cinéma : le siège qui bouge en rythme avec les scènes d’action ! Sherlock Holmes, de Guy Ritchie devrait être projeté dans quelques salles prototypes. Mais comment ça marche, au juste ?Sherlock Holmes, de Guy Ritchie est l’un des films les plus attendus de 2010. En partie grâce à son interprète principal, Robert Downey Jr, qui incarne le personnage culte à sa façon : avec beaucoup d’humour. Le nouveau Sherlock a de la classe, mais pas toujours et surtout, il est empli de mauvaise foi à en faire pâlir son cher Watson (Jude Law).Le film sera également l’occasion de découvrir un nouveau cinéma, toujours plus ancré dans le spectaculaire. Voyez plutôt : alors que l’année 2009 a vu le retour en grande pompe de la 3D, 2010 pourrait marquer celui du come back… des sièges mouvants ! Alors que ceux-ci étaient à la mode dans les années 60, et ont par la suite fait le bonheur des amateurs de parcs d’attractions (en France, Le Futuroscope contient une attraction sur ce principe, sans parler de Star Tour, à Disneyland Paris). Aujourd’hui, ce sont dix cinémas américains qui vont s’équiper de sièges capables de bouger en rythme sur les scènes d’action. Le système s’appelle D-Box Motion Code et est équipé d’un système de synchronisation novateur qui est annoncé comme la nouvelle révolution technologique du monde du cinéma.En soi, l’information est assez excitante, mais l’on peut se poser la question du choix du film. Sherlock Holmes, ce n’est pas Star Wars, et les scènes d’action pure ne doivent pas s’y succéder… Même si le film s’annonce comme une adaptation musclée des aventures du personnage créé par Arthur Conan Doyle, on reste dubitatif quant à la pertinence du choix.On attend donc d’en savoir plus.Bande-annonce de Sherlock Holmes.
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- Sherlock Holmes : après la 3D, faites place aux sièges mouvants !
Sherlock Holmes : après la 3D, faites place aux sièges mouvants !
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