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Avec ses airs de beau livre et ses décors d’un kitsch luxueux, ce curieux film ménage quelques scènes fortes, (…) mais s’enlise dans un scénario pas très finaud..
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Toujours prompt à surfer sur les modes, Hollywood adapte « le Petit Chaperon rouge » pour le public de « Twilight ». Le chaperon est donc une adolescente en pleine effervescence sexuelle (Amanda Seyfried) qui, tiraillée entre un clone brun de Robert Pattinson et le fils ombrageux de Jeremy Irons, brûle de voir le loup alors même qu’il terrorise sa communauté. Sinon, on découvre que le Botox ravage jusque dans les forêts médiévales et que Freud et le roman-photo font plutôt bon ménage quand le nanar est réalisé avec soin.
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Une relecture décevante, très « girly », du célèbre conte de Perrault. On attendait mieux de Catherine Hardwicke, réalisatrice de Twilight.
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Un ratage fauché signé par la réalisatrice de Twilight. Même à la télévision ça ne passerait pas...
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Une adaptation ratée de Perrault et un cauchemar visuel.
Le Chaperon Rouge