Evelyne Buyle est une actrice française présente aussi bien sur le grand et le petit écran qu'au théâtre. Après avoir tourné pour Jean-Pierre Mocky ou encore Michel Audiard et Coline Serreau, elle a joué pendant plus de 15 ans dans la série Louis La Brocante diffusée sur France 3.Née le 3 juin 1948, Evelyne Buyle, qui n'évoque que rarement son enfance et sa jeunesse, débute sa carrière de comédienne en 1971, date à laquelle elle apparaît dans Au Théâtre ce soir. Présente régulièrement sur les planches au fil de sa carrière, elle tourne également pour le grand et le petit écran. Son premier film, c'est sous la direction de Pierre Tchernia qu'elle le tourne puisqu'elle apparaît, non créditée, dans Le Viager en 1972. Cette première comédie n'est que le début d'une longue série. A son actif figurent notamment des rôles dans Les Malheurs d'Alfred de Pierre Richard (1972), Comment réussir quand on est con et pleurnichard de Michel Audiard (1974), L'Ibis Rouge de Jean-Pierre Mocky (1975), Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux de Coline Serreau (1982) ou encore Bimboland d'Ariel Zeitoun.16 ans de brocante sur France 3En 1998, Evelyne Buyle sort de l'ombre et se fait connaître du grand public grâce à une fiction diffusée sur France 3. Elle décroche le rôle de Maryvonne Roman, la femme de Louis Roman, dans la série Louis La Brocante. Une fiction qui, comme son nom l'indique, suit les aventures d'un brocanteur de la région lyonnaise qui, au volant de sa vieille Citroën, aide les autres, quitte parfois à jouer les détectives. Un rôle que l'actrice incarne de 1998 à mars 2014, date de la diffusion du dernier épisode de la série. Outre Louis La Brocante, elle tourne dans Filles perdues, cheveux gras de Claude Duty (2002), 18 ans après de Coline Serreau (2003), Max de Stéphanie Murat (2012) ou encore Benoît Brisefer : les taxis rouges de Manuel Pradal (2014). De passage dans un épisode de Profilage en 2011 et dans le téléfilm La Rupture en 2013, elle monte sur le planches notamment en 1987 et 1988 dans George Dandin de Molière ou encore dans Une heure et demie de retard de Gérald Sibleyras en 2005.
