La sortie imminente du Loup de Wall Street (il débarquera sur nos écrans le 25 décembre, comme un joli cadeau de Noël du Père Scorsese) propulse le film sous les projecteurs depuis quelques jours.Ainsi, outre les avant-premières (après une présentation parisienne la semaine dernière, l'avant-première new-yorkaise s'est tenue mardi soir), on découvre petit à petit les secrets de fabrication du film, comme les déclarations de Leonardo DiCaprio concernant les scènes de sexe, ou ses confidences à propos de ses inspirations pour incarner ce courtier toxicomane et déjanté.Mais si ce film est très attendu par tous les cinéphiles, il n'a pas que des fans et certains détracteurs viennent de se manifester. Ainsi, si le nouveau long métrage de Martin Scorsese a miraculeusement pu échapper à la censure (trois heures de drogues, de sexe et de "fuck" à toutes les sauces), la PeTA voit une des scènes du film lui restait en travers de la gorge et l'a fait savoir sur son site.En effet, dans Le Loup de Wall Street, Leonardo DiCaprio partage une scène avec un chimpanzé (habillé en humain et dans les bras de l'acteur), ce qui fait grincer les dents de la célèbre association de défense des animaux qui s'en est allée rédiger une pétition contre la star de Titanic. Julia Gallucci, une porte-parole de la PeTA, a déclaré à l'agence de presse britannique Wenn : "Une personnalité qui se dit aussi à l'écoute des problèmes de l'environnement que Leonardo DiCaprio devrait savoir combien il est cruel d'utiliser des singes au cinéma. La PeTA espère que la prochaine fois qu'il recevra un scénario mettant en scène un singe, il se souviendra de la cruauté qu'ont subi ces animaux, retirés à leurs mères dès la naissance, et qui sont sujets à de nombreux abus physiques. J'espère qu'il aura alors le courage de demander la ré-écriture du scénario."Il est donc préférable que les activistes de la PeTA n'aillent pas voir La Planète des Singes : l'affrontement.La bande-annonce du Loup de Wall Street, en salles le 25 décembre :
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