Toutes les critiques de Les damnés ne pleurent pas

Les critiques de Première

  1. Première
    par Thierry Chèze

    Sorte de cousin du récent tunisien Amel et les fauves, Les damnés ne pleurent pas dénonce la société marocaine étouffant sous la domination patriarcale à travers la relation fusionnelle d’une mère et de son fils, victimes l’un comme l’autre de la violence des quand dira t’on et de leurs pas de côté par rapport à la bonne morale exigé. Des personnages passionnants desservis par un récit qui aurait mérité à être resserré pour mieux en exprimer toute la puissance.